Synopsis
« Nous devons nous y habituer : aux plus importantes croisées des chemins de notre vie, il n’y a pas de signalisation. »
– Ernest Hemingway
La littérature est la liberté. On se transporte à travers les époques, les lieux, les saisons. C’est une vitesse et une lenteur. Elle mène loin et tout près, au-dedans et au-dehors. On a tendance à vivre nos vies de trop près et de trop loin à la fois. La littérature est une lunette d’approche. Trouver la bonne lentille est l’histoire de toute vie. La littérature est un effet de lumière et d’ombre, une escale sur une étoile, une bougie qui valse, un voyage au centre de la Terre. Elle est ce qu’il y a de meilleur. C’est nous et ce n’est pas nous. Rien que ça, tout ça, autre chose encore. C’est insaisissable, fuyant. C’est quelque chose qui nous échappe. C’est toujours là. Toute la littérature du monde nous appartient. Nos envies, notre rythme, nos peurs, nos angoisses, nos espoirs, notre façon de faire les choses, d’aimer et d’être aimé.
– D. LEBEL
Ce livre est issu d’une série de chroniques parues dans L’actualité depuis le début du « Grand confinement » du printemps 2020. Au fil de ses « portraits amoureux » de grandes figures de la littérature – de Paul Auster à Stefan Zweig en passant par Marguerite Duras, Ernest Hemingway et Joyce Carol Oates –, Dominique Lebel propose un plaidoyer généreux, inédit et décomplexé en faveur de la littérature, pour lui source de toutes les libertés. C’est que pour lui, « lire fait vivre plus ».
– Ernest Hemingway
La littérature est la liberté. On se transporte à travers les époques, les lieux, les saisons. C’est une vitesse et une lenteur. Elle mène loin et tout près, au-dedans et au-dehors. On a tendance à vivre nos vies de trop près et de trop loin à la fois. La littérature est une lunette d’approche. Trouver la bonne lentille est l’histoire de toute vie. La littérature est un effet de lumière et d’ombre, une escale sur une étoile, une bougie qui valse, un voyage au centre de la Terre. Elle est ce qu’il y a de meilleur. C’est nous et ce n’est pas nous. Rien que ça, tout ça, autre chose encore. C’est insaisissable, fuyant. C’est quelque chose qui nous échappe. C’est toujours là. Toute la littérature du monde nous appartient. Nos envies, notre rythme, nos peurs, nos angoisses, nos espoirs, notre façon de faire les choses, d’aimer et d’être aimé.
– D. LEBEL
Ce livre est issu d’une série de chroniques parues dans L’actualité depuis le début du « Grand confinement » du printemps 2020. Au fil de ses « portraits amoureux » de grandes figures de la littérature – de Paul Auster à Stefan Zweig en passant par Marguerite Duras, Ernest Hemingway et Joyce Carol Oates –, Dominique Lebel propose un plaidoyer généreux, inédit et décomplexé en faveur de la littérature, pour lui source de toutes les libertés. C’est que pour lui, « lire fait vivre plus ».
Titre original : Et moi, je lis toujours (2022)
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2022
Editions Robert Laffont
256 pages
mars 2022
ISBN : 9782924910177
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