Synopsis
Un personnage mystérieux semble, dans l'ombre, mener le jeu: Gobseck, un vieil usurier qui a écumé toutes les mers du monde. Chez lui se précipitent tour à tour une comtesse adultère aveuglée par sa passion, un amant peu scrupuleux, un mari bafoué. Pour tous, il sera la dernière chance... ou peut-être l'ultime précipice. Mais que fait-il de toutes ses richesses, lui qui vit si pauvrement?
Moyenne
13.9
22 votes
MOYEN
5 éditions pour ce livre
2013 Editions Nathan (Carrés classiques)
152 pages
3 octobre 2013
ISBN : 9782091885377
2012 Editions Flammarion (GF)
232 pages
ISBN : 208070429X
2007 Editions Nathan (Carrés classiques)
86 pages
ISBN : 2091885371
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2 chroniques de blog
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24 Février 2022Cyan13 / 20Lire la chronique -
12 Juin 2014ma--bibli0theque12 / 20Lire la chronique
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5 commentaires
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17 / 20 Le 04 Juillet 2025 à 13:57 Alex-Mot-à-MotsJean-Esther Van Gobseck, dit papa Gobseck, est un des 8 usuriers de Paris. Il connaît tout des fortunes des Grands de ce monde.
Il passe un accord avec le père d’Ernest de Restaud pour que sa femme n’hérite de rien, elle qui a un amant dépensier et est obligé de vendre les diamants de la famille de son mari pour renflouer son galant. La dame est une demoiselle Goriot. -
Le 19 Mars 2024 à 11:46 BeacakistaDécidément, je trouve que les Scènes de la vie privée sont, dans l'ensemble, assez oubliables. Sans que ce soit vraiment désagréable, la lecture n'en reste pas moins assez ennuyeuse.
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13 / 20 Le 24 Février 2022 à 10:35 Cyan
Lecture intéressante, malgré la mise en place m'a semblé un peu longue et l'absence de chapitres.
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11 / 20 Le 27 Décembre 2021 à 06:24 hiekashiUne courte lecture, qui demande une certaine concentration pour ne pas en perdre rapidement le fil. Plusieurs histoires s'imbriquent les unes dans les autres et l'écriture fort détaillée de Balzac n'aide pas forcément à s'y retrouver. Bien que la fin remonte largement mon intérêt pour l'histoire, mon grand manque de notions en finance m'a peiné dans l'avancée de ma lecture. Dommage.
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13 / 20 Le 29 Mai 2018 à 12:05 LotteJe crois que je suis un peu passée à côté (la fatigue, le jargon notarial...).