La papeterie TsubakiIto Ogawa2018

Synopsis

Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l'art difficile d'écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l'encre, l'enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d'un singe, des lettres d'adieu aussi bien que d'amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c'est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues.

Titre original : Tsubaki bunguten (2016)

Moyenne

16.9

600 votes

BON

5 éditions pour ce livre

2021 Editions Philippe Picquier (Poche)

Traduit par Myriam Dartois-Ako

403 pages

3 juin 2021

ISBN : 9782809715491

2018 Editions Philippe Picquier (Japon)

Traduit par Myriam Dartois-Ako

375 pages

23 août 2018

ISBN : 2809713561

2016 Editions À vue d'oeil

428 pages

ISBN : 9791026903284

2018 Editions Philippe Picquier (Japon)

Traduit par Myriam Dartois-Ako

375 pages

Format : ePub

ISBN : 9782809713565

2019 Editions Le livre qui parle

Lu par Peggy Martineau

Durée : 410 min

ISBN : B07RR98GYT

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96 commentaires

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  • avatar Loloduf
    15 / 20 Le 07 Août 2021 à 08:27 Loloduf

    Un joli roman qui place les relations mère fille au cœur du propos comme souvent chez Itô Ogawa. Le rythme est plus lent que dans "Le restaurant de l’amour retrouvé" et de ce fait ce livre m'a un peu moins plu. Il y a aussi beaucoup plus de termes japonais non traduits. J'ai découvert cet art de la calligraphie épistolaire qui n'existe pas à un tel niveau de raffinement en Occident.

  • avatar DoReMiLiseuse
    20 / 20 Le 06 Août 2021 à 19:23 DoReMiLiseuse

    Quelle douceur ! Quelle finesse ! Quelle sérénité ! Un coup de coeur poétique. On entre dans la papeterie Tsubaki, et comme les clients, on se laisse apaiser par Hatoko. Les habitants de Kamakura nous laisse chacun leur marque, avec pudeur et candeur. Une magnifique lecture que j'ai hâte de retrouver pour une future relecture !

  • avatar Chloélit
    16 / 20 Le 05 Août 2021 à 11:39 Chloélit

    Il existe de ces romans tranche de vie à déguster les journées pluvieuses au coin du feu ou, à défaut, à celle de la douce chaleur des mots. Amoureuse de ces derniers, impossible de ne pas être subjuguée face à l’art subtil de la calligraphie où valsent timbre, enveloppe, encre, papier… D’une tendre poésie !

  • avatar lauradesmots
    17 / 20 Le 25 Juillet 2021 à 14:54 lauradesmots

    Une parenthèse suspendue tant dans le temps que dans l'espace, où l'on découvre à travers une tranche de vie poétique les traditions de la calligraphie japonaise. De beaux questionnements sur la vie et rencontres qui évoluent avec sincérité au rythme des saisons et des cérémonies du thé.

  • avatar posidonie
    19 / 20 Le 22 Juin 2021 à 14:14 posidonie

    Mais quelle jolie lecture ! Une galerie de personnages et leur lot de peines ou de joies se rendent à la papeterie Tsubaki pour trouver les mots. C’est lumineux tout en étant emprunt de la pudeur qui caractérise la culture japonaise. Une vraie parenthèse de douceur et d’optimisme.