Synopsis
Un homme quitte soudain la table du dîner, fait ses adieux à sa femme, après avoir gardé pendant cinq ans le silence sur « cette nuit-là ». Il se met en route pour « là-bas », à la recherche de son fils mort.
De jour en jour, sa marche autour de la ville se fait plus obstinée. D’autres parents qui ont aussi perdu un enfant le suivent. Parmi eux, un cordonnier, une sage-femme, un centaure-écrivain tentent d’accepter l’intolérable, de matérialiser l’absence radicale de ceux qu’ils pleurent. Un chroniqueur commente leurs faits et gestes.
Ainsi, par la force et la grâce de la poésie, les personnages de ce récit polyphonique envoûtant parviennent un bref instant à rejoindre leurs disparus et à rompre la solitude que le deuil impose aux vivants.
David Grossman nous surprend une fois encore par la délicatesse de son écriture et par son humanité.
De jour en jour, sa marche autour de la ville se fait plus obstinée. D’autres parents qui ont aussi perdu un enfant le suivent. Parmi eux, un cordonnier, une sage-femme, un centaure-écrivain tentent d’accepter l’intolérable, de matérialiser l’absence radicale de ceux qu’ils pleurent. Un chroniqueur commente leurs faits et gestes.
Ainsi, par la force et la grâce de la poésie, les personnages de ce récit polyphonique envoûtant parviennent un bref instant à rejoindre leurs disparus et à rompre la solitude que le deuil impose aux vivants.
David Grossman nous surprend une fois encore par la délicatesse de son écriture et par son humanité.
Titre original : Nofel mihutz lazman (2011)
Moyenne
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1 édition pour ce livre
2012
Editions Seuil (Cadre vert)
Traduit par Emmanuel Moses
204 pages
11 octobre 2012
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Je ne sais pas quoi dire. C’est illisible. Les mots courts et laconiques se succèdent sans aucun autre sens que la sonorité des mots. Le début passait encore (ça va 5min !) avec un petit goût de Théâtre. Par la suite, ce n’est pour moi que méli-mélo de mots jetés là pour faire Jolis et pas foutus de donner un sens à l’histoire. Phoenix ++