Synopsis
« On s'est connus à la maternelle, Sud et moi, en même temps que Rubinstein, Veronica, Treese et Phillip. Ça remonte aux premiers contrecoups du baby boom, dans les petites rues bordées d'arbres et de maisons individuelles du nord ouest de Detroit, dans le Michigan – les décennies de notre existence ponctuées de chiffres ronds, de dix en dix, à partir de 1950, l'année qui vit naître le monde. On était devenus amis à la manière des enfants – à la cantine, devant nos sandwiches et nos verres de lait. Il n'y eut jamais le moindre pacte, pas de serments prononcés, nulle fondation d'une quelconque société secrète. On est simplement devenus amis à la maternelle et ça ne s'est jamais arrêté.»
Quand exactement cesse-t-on d'aimer quelqu'un ? Peut-on aider son meilleur ami à mourir ? Comment recoller les morceaux quand la vie est cassée ?
Les personnages de ce livre ne cessent de se poser des questions. Avec humour, avec tendresse, avec cruauté, Howard Buten leur souffle les réponses.
Quand exactement cesse-t-on d'aimer quelqu'un ? Peut-on aider son meilleur ami à mourir ? Comment recoller les morceaux quand la vie est cassée ?
Les personnages de ce livre ne cessent de se poser des questions. Avec humour, avec tendresse, avec cruauté, Howard Buten leur souffle les réponses.
Titre original : C'était mieux avant (1994)
Moyenne
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BON
1 édition pour ce livre
1994
Editions de l'Olivier (Littérature étrangère)
Traduit par Jean-Pierre Carasso
208 pages
1er octobre 1994
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Bon petit roman rempli de souvenirs, de nostalgie, pensées de questions et d'amour. L'auteur permet de répondre à ces questions tout au long du livre
Ce livre est fait de souvenirs, de pensées, d'interrogations. Il est aussi comme un souffle suspendu, suspendu à celui que l'on perd.