Synopsis
Moyenne
16.4
33 votes
BON
2 éditions pour ce livre
2025 Editions Gallimard (Blanche)
464 pages
13 mars 2025
ISBN : 9782073092373
Qui a lu ce livre ?
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4 chroniques de blog
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13 Juin 2025Cannetille17 / 20Lire la chronique -
08 Juin 2025Stephane1716 / 20Lire la chronique -
26 Mai 2025Aude bouquine20 / 20Lire la chronique -
06 Mai 2025lemurmuredesameslivresLire la chronique
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8 commentaires
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16 / 20 Le 27 Août 2025 à 21:22 ClaireLGWhiteJ'ai beaucoup aimé cette lecture. C'est un livre très dur, très sombre mais très intéressant au niveau social également. La Postface est pleine de ressources références du roman au cinéma d'horreur des années 70 à 90.
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20 / 20 Le 25 Juin 2025 à 00:39 MaxouUuUn chef d'œuvre horrifique ! Del Amo nous livre une histoire axée sur l'identité sexuelle qui est très présente dans son livre, la famille, les peurs adolescentes mais encore les premiers amours. Et bien sûr, les cauchemars et peurs de chacun sont développés au maximum, jouant sur les peurs de nos protagonistes.
Les scènes sont décrites avec finesse, la plume de J-B est incroyable -
17 / 20 Le 13 Juin 2025 à 10:39 Cannetille
Indéniablement addictif que l’on tremble ou non d’un tel mélange horrifique, le récit magistralement mené autour de personnages à la psychologie fouillée, de références cinématographiques malicieuses et surtout d’une signification allégorique séduit finalement davantage par ce qu’il incarne du plus intime de l’auteur que par ses aspects les plus ouvertement fantastiques.
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13 / 20 Le 08 Juin 2025 à 13:53 LiqueurAmèreUn roman de genre mais avec une dimension sociale évidente (Del Amo ne se refait pas totalement). C'est plutôt bien écrit, même si l'auteur a eu fait mieux. L'intrigue progresse petit à petit vers l'horreur et se conclut avec une longue scène onirique de type train fantôme, qui laisse une fin d'une ambiguïté terrifiante. Un gros côté "Stranger Things" dans l'univers inversé de la maison des Ormes.
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Le 15 Mai 2025 à 12:55 bouliksJ'éprouve un intérêt grandissant pour les récits qui tentent de capturer le difficile passage à l'âge adulte. Del Amo choisit l'horreur comme mécanisme et c'est une réussite. À la fin, les frissons laissent place à une amère nostalgie. Il est dommage que les personnalités des quatre garçons ne soient pas plus marquées, j'ai mis beaucoup de temps à les distinguer. (Max m'a tellement touché omg)
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