Les singuliers
Anne Percin2014

Synopsis

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TRES BON

Durant l'été chaud de 1888, une communauté de peintres prend pension à Pont-Aven, un village pittoresque du Finistère. Parmi eux se trouvent un jeune Belge, Hugo Boch, issu d'une riche famille d'industriels, et un certain Gauguin, autodidacte à la grande gueule qui croit en son génie. Ils sont de cette avant-garde qui veut peindre autrement, voir autrement, vivre autrement.
Hugo Boch n'est plus très sûr, lui, de vouloir poursuivre dans la peinture : il expérimente du côté de la photographie, cet art naissant. Surtout, il mène une correspondance assidue et les lettres qui s'échangent, entre la Bretagne, Paris et Bruxelles, sont foisonnantes d'anecdotes. Un vent nouveau se lève, en cette fin de siècle, dans les arts mais aussi dans les moeurs et les techniques. Tous ces explorateurs sont des jeunes gens audacieux, émouvants et parfois drôles, sauvages aussi, qui se battraient en duel pour défendre des tournesols peints par un Hollandais, réfugié dans le Midi, que beaucoup considèrent comme un fou et un barbouilleur... Dans Les Singuliers, Anne Percin mêle figures historiques et personnages fictifs pour nous offrir un roman épistolaire bouillonnant. C'est un tableau monumental, qui croque sur le vif l'esprit du temps et nous le rend vivant.

2 éditions pour ce livre

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2016 Editions Babel

Française Langue française | 398 pages | Sortie : 17 août 2016 | ISBN : 9782330066796

2014 Editions du Rouergue (La Brune)

Française Langue française | 386 pages | Sortie : 20 août 2014

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3 chroniques de blogueurs

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6 commentaires

  • argali Le 27 Septembre 2014 à 11:06
    Ils sont jeunes, ils sont fous et sont prêts à tout pour un peu de reconnaissance. Un roman épistolaire vif sur le monde de l'art à la fin du 19e siècle.
  • mademoizelle.nebel Le 07 Décembre 2014 à 17:57
    Une belle découverte d'un petit bout du monde de l'art
  • Au vrai chic littérère Le 06 Août 2016 à 10:02
    Le roman suit la correspondance entretenue entre 1888 et 1890 par Hugo, Hazel, sa cousine et Tobias, son meilleur ami. Apprentis peintres, ils cherchent à inventer leur vie, à trouver la voie qui leur correspondra. Le roman épistolaire suppose d'épouser l'esprit, la syntaxe du temps dans lequel il s'inscrit. Anne Percin s'y emploie à merveille. Son livre est vivant et respire longtemps en nous.
  • Sosolit Le 09 Février 2019 à 15:19
    Je referme ce livre avec une envie folle de rencontrer Hazel, Hugo et Tobias
  • Anima Lecteur Le 24 Septembre 2020 à 17:39
    Roman choral et épistolaire sur les peintres en devenir dans le contexte exposition universelle de Paris. Se laisse lire mais le manque de crédibilité donne un caractère trop bouffonnant.
  • larabluejean Le 10 Octobre 2021 à 12:21
    C'est un bon roman épistolaire, j'ai adoré découvrir les personnages et l'univers des peintres en France et en Belgique à la fin des années 1880.

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