Synopsis
Achille Santerre, que le lectorat a déjà rencontré dans le précédent roman de Biz, ne cherche plus l’amour. Il l’a trouvé, il l’a perdu.
Ce n’est pas faute d’affection. C’est qu’il est plus vieux que Céleste, qu’il a deux enfants d’une précédente union, et que c’est assez pour lui alors qu’elle veut être mère.
Il ne lui en veut pas. Mais il en souffre. Il la rêve, la raconte. Il remonte le fil de cette relation que la différence d’âge annonçait improbable, sinon inéluctablement vouée à l’échec.
Si dans L’horizon des événements ce prof de littérature pas toujours content de son époque et pourfendant le milieu universitaire tutoyait Louis-Ferdinand Céline, il convoque cette fois-ci Roland Barthes et ses Fragments du discours amoureux pour éclairer sa propre situation.
Feu l’amour est une lettre d’adieu déchirante d’où se dégage une fragilité qu’on avait peu perçue dans les œuvres précédentes de Biz.
Mais le désespoir n’est pas invincible, et c’est l’amour de ses enfants qui finira par apaiser Achille, dans des passages d’une grande beauté.
Plus vulnérables, plus doux, en proie au doute et peut-être à la crise de la cinquantaine, le narrateur comme l’auteur plongent dans un roman douloureux qui bouleverse, avec la lumière au bout du tunnel.
Ce n’est pas faute d’affection. C’est qu’il est plus vieux que Céleste, qu’il a deux enfants d’une précédente union, et que c’est assez pour lui alors qu’elle veut être mère.
Il ne lui en veut pas. Mais il en souffre. Il la rêve, la raconte. Il remonte le fil de cette relation que la différence d’âge annonçait improbable, sinon inéluctablement vouée à l’échec.
Si dans L’horizon des événements ce prof de littérature pas toujours content de son époque et pourfendant le milieu universitaire tutoyait Louis-Ferdinand Céline, il convoque cette fois-ci Roland Barthes et ses Fragments du discours amoureux pour éclairer sa propre situation.
Feu l’amour est une lettre d’adieu déchirante d’où se dégage une fragilité qu’on avait peu perçue dans les œuvres précédentes de Biz.
Mais le désespoir n’est pas invincible, et c’est l’amour de ses enfants qui finira par apaiser Achille, dans des passages d’une grande beauté.
Plus vulnérables, plus doux, en proie au doute et peut-être à la crise de la cinquantaine, le narrateur comme l’auteur plongent dans un roman douloureux qui bouleverse, avec la lumière au bout du tunnel.
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