L'annulaireYôko Ogawa1999

Synopsis

Dans un ancien foyer de jeunes filles transformé en laboratoire, M. Deshimaru, taxidermiste du souvenir, prépare et surveille des “spécimens”, tandis que la narratrice de ce récit, assistante et réceptionniste, accueille les clients venus confier au mystérieux spécialiste d’insolites bribes de leur histoire : des ossements d’oiseau, quelques champignons microscopiques, une mélodie, une cicatrice…
Amputée d’une infime partie d’elle-même depuis un accident du travail, la jeune assistante tombe peu à peu sous le charme du maître de ce lieu de mémoire malsain et fascinant.

Titre original : Kusuriyubi no hyohon (1994)

Moyenne

14.6

100 votes

MOYEN

4 éditions pour ce livre

2005 Editions Babel

95 pages

ISBN : 2742756280

2005 Editions Babel

95 pages

1999 Editions Babel

95 pages

1995 Editions Actes Sud

Traduit par Rose-Marie Makino-Fayolle

95 pages

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17 commentaires

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  • avatar Arsinoai
    14 / 20 Le 13 Août 2019 à 21:25 Arsinoai

    Très belle écriture mais probablement pas le meilleur récit de l'autrice même si j'ai tout de même apprécié certains éléments de cette histoire.

  • avatar Anabel
    16 / 20 Le 25 Avril 2018 à 08:29 Anabel

    Un petit roman, très particulier... qui à travers une écriture très poétique, très douce, raconte des faits, à la limite du fantastique, et des situations très particulières qui parfois créent un certain malaise... je tenterai d'autres livres de l'autrice.

  • avatar Bookcroqueuse
    16 / 20 Le 20 Avril 2018 à 13:04 Bookcroqueuse

    Une belle lecture, un poil étrange, tendre. Un petit bout de soi qu’on laisse entre ces pages.

  • avatar Emixxam
    14 / 20 Le 03 Novembre 2017 à 10:21 Emixxam

    Court récit (trop ?) énigmatique à l'atmosphère lourde, dont on peine à capter toutes les subtilités..Heureusement servi (et sauvé) par l'écriture ensorcelante et enivrante de Y. Ogawa.

  • avatar Julie du Fabularium
    15 / 20 Le 09 Janvier 2016 à 19:56 Julie du Fabularium

    Toujours cette lenteur qu’arrivent à installer les japonais dans leurs créations. Même si l’histoire ne se compose seulement que de 94 pages, on prend le temps de décrire l’environnement, les sentiments… malgré l’angoisse, l’incertitude dans lesquelles nous installe l’auteur, j’aime ce calme qui est instauré et qui fait que l’on arrive à la fin du roman sans même s’en apercevoir.

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