Synopsis
La maison de pierres dans laquelle ils ont vécu est tombée en poussière. Le grincement du parquet, le crépitement du feu dans l’âtre, tout n’est plu que lointain souvenir. Le temps passe inexorablement, et personne ne peu se soustraire à son étreinte. Seul le monde continue de tourner, immuable Pourtant, au beau milieu de l’oubli, nous resterons jusqu’à la toute fifin Voilà la seule vérité Ils sont aussi différents que le jour et la nuit… Et malgré tout ce qui le sépare, malgré les ténèbres qui les entourent, ils ont écrit petit à petit une fable tous les deux. Où leurs pas vont-ils fifinalement les mener ?
Titre original : Totsukuni no Shojo, book 11 (2021)
Moyenne
16.0
128 votes
BON
1 édition pour ce livre
2021
Editions Komikku
Traduit par Fédoua Lamodière
174 pages
4 novembre 2021
ISBN : 9782372875875
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16 commentaires
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Du temps s’est écoulé depuis ma lecture des premiers tomes. J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire avec un sentiment de tourner en rond. Je crois que j’étais parfois aussi déconcertée que Sheeva et le Professeur ! Cette fin me laisse un peu mitigée, en dépit de sa douceur. Un manga original, poétique et quelque peu mystérieux que je relirai peut-être un jour d’une traite pour mieux l’apprécier.
Si j'adore la série pour son ambiance et ses dessins, je dois avouer que les explications finales m'ont un peu perdue.
Un dernier tome dans la continuité de la série, avec cette douceur et tendresse caractéristique à Nagabe. C'est un volume plein de souvenirs , de sentiments mais aussi d'une certaine tristesse. Une relecture de l'ensemble des tomes m'est nécessaire tant j'ai le sentiment d'être passée à côté de petites choses, qui m'aurait encore mieux permis de comprendre tous les détails de ce conte bien sombre.
J'ai eu du mal à m'y mettre car je ne voulais pas finir cette saga. Un final énigmatique au possible, tout en douceur et en poésie. Une fin fidèle a la saga renforce sa position de coup de cœur !
Une conclusion à l’image du mangas, belle et énigmatique. Une deuxième lecture ne serait pas du luxe pour comprendre toutes les subtilités. Néanmoins, je reste charmée par les dessins, par l’univers et par la relation qui unit Sheeva et Le Professeur. On explore des thèmes aussi joyeux que sinistres, toujours avec poésie et sensibilité.