Synopsis
Lorque la voiture piégée explosa dans cette rue de Dublin, John Roe O'Neill perdit la raison : sous ses yeux, sa femme et leurs deux fils venaient de mourir par la faute d'un terroriste.
John cessa d'exister ou plutôt il devint le Fou. Parce qu'il était biologiste moléculaire, sa folie était plus dangereuse qu'aucune bombe. Seul, dans un laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes sans remède.
Il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière.
Dans ce roman terrible et vraisemblable, Frank Herbert décrit un avenir proche : celui du terrorisme absolu.
John cessa d'exister ou plutôt il devint le Fou. Parce qu'il était biologiste moléculaire, sa folie était plus dangereuse qu'aucune bombe. Seul, dans un laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes sans remède.
Il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière.
Dans ce roman terrible et vraisemblable, Frank Herbert décrit un avenir proche : celui du terrorisme absolu.
Titre original : The white plague (1982)
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2 éditions pour ce livre
1999
Editions Le Livre de Poche (Science-fiction)
Traduit par Jacques Polanis
703 pages
25 mai 1999
1994
Editions Robert Laffont (Ailleurs & demain)
Traduit par Jacques Polanis
576 pages
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1 chronique de blog
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01 Mai 2018NelfeLire la chronique
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