Synopsis
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L’extension de la démocratie hors du lieu de travail a marqué les conquêtes du mouvement ouvrier bien plus que la réduction de l’inégalité des pouvoirs entre les détenteurs de l’autorité dans les entreprises et le travail subordonné.
Cette affirmation, à l’ouverture de ce livre de Bruno Trentin, secrétaire général dans les années 1990 de la CGIL, le grand syndicat italien, bouscule bien des débats et des combats sur le travail aujourd’hui.
La gauche, fascinée par la conquête de l’État, finit par se contenter d’un accompagnement « social » des dégâts du travail alors que la conquête immédiate des libertés dans le travail serait un moyen de faire reculer la subordination dans les entreprises et dans toute la société.
La contribution de Trentin pourrait-elle renouveler la vision du travail dans la culture politique et permettre des mobilisations pour sortir de l’impasse dans laquelle nos sociétés s’enfoncent ? L’action, en tout cas, est possible, montre la préface de Jack Ralite, si la démocratie retrouve ses racines dans le travail de chacun et de tous.
Titre original : La liberta viene prima (2004)
1 édition pour ce livre
2016 Editions Sociales
Langue française | Traduit par Livia Berta et Georges Ferrandiz | 184 pages | ISBN : 9782353670260
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