Synopsis
Dans le village misérable et poussiéreux de Macondo s'agitent déjà les marionnettes qui peupleront le grand théâtre de l'univers romanesque de Gabriel Garcia Màrquez : caciques abusifs et nantis égoïstes côtoient un petit peuple naïf et truculent sous un ciel d'ennui, sur une terre de désolation. Mais la mort de " la souveraine absolue du royaume de Macondo " devient une joyeuse délivrance et une délirante kermesse à laquelle même le pape est convoqué avec sa gondole noire. " Il faut laisser la porte grande ouverte à l'invention, et même à tous les excès de l'imagination. " Ces paroles du romancier colombien, prix Nobel de littérature en 1982, s'appliquent à merveille aux huit fabuleux récits qui composent Les funérailles de la Grande Mémé.
Titre original : Los funerales de la Mama Grande (1962)
Moyenne
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MOYEN
8 éditions pour ce livre
1995 Editions Grasset (Les Cahiers Rouges)
Traduit par Claude Couffon
156 pages
ISBN : 2246055024
1977 Editions Grasset
Traduit par Claude Couffon
156 pages
2 novembre 1982
ISBN : 9782246005506
2008 Editions Le Livre de Poche (Bilingue)
Traduit par Claude Couffon
320 pages
ISBN : 9782253047230
2002 Editions Le Livre de Poche (Bilingue)
Traduit par Claude Couffon
319 pages
mars 2002
ISBN : 9782253047230
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Garcia Marquez, la solitude, l'humanité. Marquées de brutalité et de poésie. Cela se lit avec plaisir.
Un livre court, 8 nouvelles, qui nous emporte dans de petits villages d'Amérique du Sud où la chaleur accablante semble avoir quelque influence néfaste sur l'esprit de leurs habitants. Les thèmes de la solitude, du temps, de la mémoire, de la mort etc. y sont abordés dans une écriture simple. J'ai découvert avec ce roman le réalisme magique, sans que cela ne se révèle être un coup de cœur.
Des nouvelles assez inégales (mais je crois que c'est quasiment toujours comme ça), certaines me sont restées obscures. Il est vrai que c'était assez poétique, mélange de réalité et d'inventions imaginatives, mais il n'y avait pas vraiment de chutes ce qui était assez déroutant. Agréable et simple.