NikkiAlice Melmoth2024

Dans un univers dystopique…
Un tueur à gages froid et solitaire…
Un humanoïde dont l’unique fonction se résume à offrir son corps…
Ils n’ont rien en commun, n’auraient jamais dû se rencontrer, jusqu’au jour où le destin s’en mêle…
« Viens »
Un simple mot prononcé dans le feu de l’action, sans réfléchir aux conséquences, et qui va peut-être tout changer…


Caleb ne s’embarrasse jamais d’émotions, que ce soit dans son boulot ou dans sa vie privée. Un nom sur un contrat et il tue sans pitié. Dans son monde, efficacité ne rime pas avec sentimentalité. Et cela lui convient très bien. Jusqu’à ce que sa route croise celle de Nikki.

Nikki, jeune prostitué, ne connait du monde que les murs du Sodome & Gomorrhe et les rendez-vous tarifés avec une clientèle fortunée. Il ne gère pas sa vie, d’autres l’ont toujours fait pour lui. Mais cela lui convient, car après tout, il n’est pas humain, enfin, pas tout à fait. Jusqu’à ce que son univers explose lors d’une attaque sanglante.

Quand il décide de sauver le garçon, une « poupée » manufacturée pour le plaisir, un pur produit de consommation issu de l’industrie du sexe, Caleb flaire immédiatement les emmerdes qui sont livrées avec. Si docile, si innocent, si… dangereux. Hors de question de le garder. Il doit s’en débarrasser, le revendre au plus vite, avant de ne plus en être capable. Et s’il était déjà trop tard… ? Pour couronner le tout, quelqu’un cherche à l’éliminer, lui, Caleb, surnommé La Mort, et à juste titre ! Sa vie est devenue un bordel monumental, et il n’y a qu’un moyen d’y remédier : un bon nettoyage en règle.


AVERTISSEMENT :
La romance entre Nikki et Caleb n’est pas « dark » au sens strict du terme, cependant, nos personnages évoluent dans un monde sombre et violent. Le roman aborde plusieurs thèmes difficiles, comme le trafic et l'objetisation d’êtres vivants, la prostitution, la criminalité. Certains passages décrivent des pratiques sexuelles « kinky », peu conventionnelles, qui peuvent apparaître déroutantes, voire dérangeantes, selon l’appréciation et la sensibilité de chacun. Le roman ne fait en aucun cas l’apologie du crime.