Synopsis
“Nous étions assis sur un banc près des Halles, sous une espèce de pergola en bois. Il faisait bon. Il m’a dit je ne t’aime pas. La veille, il était arrivé une heure en retard au rendez-vous. J’étais devant la station d’essence de la porte d’Orléans à guetter les 4 L en espérant qu’il vienne. Il a fini par apparaître. J’avais envie de faire la tête mais la gaieté de le voir annulait tout. Ce n’était pas le moment de faire une remarque : déjà qu’il ne m’aimait pas beaucoup. J’ai juste relevé son manque de ponctualité sur le ton de la plaisanterie.”
Bruno, l’“Agrume”, est un esthète d’aujourd’hui : il fait sécher des citrons et des oranges chez lui pour en observer leur pourrissement multicolore, il s’extasie devant un champ de navets du Val d’Oise et s’émeut de la beauté d’un bouchon de lavabo durci et craquelé. Ensemble, Valérie et l’Agrume essayent de vivre quelque chose qui ressemble à une histoire d’amour.
Bruno, l’“Agrume”, est un esthète d’aujourd’hui : il fait sécher des citrons et des oranges chez lui pour en observer leur pourrissement multicolore, il s’extasie devant un champ de navets du Val d’Oise et s’émeut de la beauté d’un bouchon de lavabo durci et craquelé. Ensemble, Valérie et l’Agrume essayent de vivre quelque chose qui ressemble à une histoire d’amour.
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2 chroniques de blog
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12 Septembre 2014Chroniques_assidues15 / 20Lire la chronique
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02 Avril 2012zazy16 / 20Lire la chronique
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2 commentaires
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11 / 20 Le 10 Avril 2025 à 12:22 Maylie
La qualité de l'écriture n'aura pas su sauver cette histoire d'une femme trop attachée à un homme qui n'en vaut vraiment pas la peine à mes yeux.
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16 / 20 Le 02 Avril 2012 à 18:39 zazy
Les deux antagonistes sont aussi agaçants l’un que l’autre. Lui, par sa suffisance, sa lâcheté, sa petitesse ; elle par sa soumission. La force de Valérie Mrejen, est de nous donner une succession de faits, non des états d’âme et la banalité devient un bon livre.