Synopsis
Octobre 1869.
Sous une fausse identité, Fiodor Dostoïevski revient à Pétersbourg où son beau-fils Pavel vient d'être victime d'un accident fatal. La police le démasque et refuse de lui remettre les papiers de Pavel, mêlé aux activités d'un groupe terroriste. Pavel s'est-il suicidé, a-t-il été tué par la police ou par ses camarades nihilistes ? Dérouté par les interrogatoires policiers, traqué par un indicateur qui pénètre dans son intimité, fasciné et écœuré par sa rencontre avec le fanatique Netchaïev, Dostoïevski découvre alors une Russie malade, rongée par la pauvreté, l'autorité stupide et la violence destructrice. Un ouvrage profond, subtil, grave, où l'on retrouve le style austère de Coetzee, mais aussi un univers intérieur trouble et émouvant, porté par une intrigue captivante.
Sous une fausse identité, Fiodor Dostoïevski revient à Pétersbourg où son beau-fils Pavel vient d'être victime d'un accident fatal. La police le démasque et refuse de lui remettre les papiers de Pavel, mêlé aux activités d'un groupe terroriste. Pavel s'est-il suicidé, a-t-il été tué par la police ou par ses camarades nihilistes ? Dérouté par les interrogatoires policiers, traqué par un indicateur qui pénètre dans son intimité, fasciné et écœuré par sa rencontre avec le fanatique Netchaïev, Dostoïevski découvre alors une Russie malade, rongée par la pauvreté, l'autorité stupide et la violence destructrice. Un ouvrage profond, subtil, grave, où l'on retrouve le style austère de Coetzee, mais aussi un univers intérieur trouble et émouvant, porté par une intrigue captivante.
Titre original : The master of Petersburg (1994)
Moyenne
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L'esprit de Dostoïevski aurait dû posséder John Maxwell Coetzee lors de l'écriture de ce roman. Il est impossible d'expliquer autrement ce mimétisme absolument fabuleux dans les dialogues et les descriptions. Comment a-t-il pu comprendre l'âme russe et surtout celle de Dostoïevski ? La lecture n'est pas facile, l'atmosphère est pesante mais c'est absolument brillant stylistiquement.