Synopsis
A la fin du XIXe siècle, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans, ils ne vivent que l'un pour l'autre, mais Fermina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin. Alors Florentino, l'amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s'efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu'il ne cessera d'aimer, en secret, cinquante années durant, jusqu'au jour où l'amour triomphera.
L'auteur de Cent Ans de solitude et de Chronique d'une mort annoncée, prix Nobel 1982, donne libre cours dans ce roman à son génie de conteur, à la richesse de son imagination et à l'enchantement baroque de son écriture.
L'auteur de Cent Ans de solitude et de Chronique d'une mort annoncée, prix Nobel 1982, donne libre cours dans ce roman à son génie de conteur, à la richesse de son imagination et à l'enchantement baroque de son écriture.
Titre original : El amor en los tiempos del cólera (1987)
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Un magnifique roman sur les trois sujets qui touchent l'Homme : la vie, l'amour, la mort.
Entre ce classique et moi ça ne l’a malheureusement pas fait. Je garde une sensation de centaines de pages écrites pour finalement pas grand-chose, avec une histoire qui aurait pu être beaucoup plus courte. Il y a de nombreux points positifs (plume, personnages, ambiance, romanesque) mais je reste déçue par cette lecture qui ne m’a pas apporté cette magnifique histoire d’amour que j'attendais.
La plus belle histoire d’amour de la littérature colombienne – sans doute une des plus belles histoires d’amour tout court – est celle qui unit pendant plus de 50 ans Florentino et Fermina dans « L’amour aux temps du choléra (El amor en los tiempos del cólera) » et nous ramène chez Gabriel Garcia Márquez. Nous sommes sur la côte des Caraïbes, dans une ville qui ressemble à Cartagena.
Malgré une belle écriture et certains passages que j'ai beaucoup aimés, le livre m'a laissée plutôt indifférente. Je me suis ennuyée et je n'ai pas été capable de lire les 100 dernières pages.
J'ai dû me forcer sur la fin. Non pas que l'histoire n'est pas intéressante, mais je l'ai trouvé lourde. Certains passages sont quand même forts.