Synopsis
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
Moyenne
15.5
835 votes
BON
6 éditions pour ce livre
2022 Editions Rosie & Wolfe (En poche)
759 pages
10 mars 2022
ISBN : 9782889730025
2022 Editions Rosie & Wolfe
576 pages
ISBN : 9782889730155
2020 Editions de Fallois
576 pages
25 mars 2020
ISBN : 9791032102381
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134 commentaires
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Carrément déçue. J’ai trouvé les situations improbables, les personnages caricaturaux voire agaçants pour certains (Macaire est complètement crétin alors qu’il est censé être un financier hors pair, et Scarlett est une vraie tête à claques), et je ne parle même pas de l’hommage à l’éditeur dont on se fiche éperdument et qui sont en plus assez mal écrites de mon point de vue. J’ai survolé la fin.
J'ai du mal à dire si j'ai aimé ou pas, tant il y a eu de hauts et de bas. D'un côté, trop de temporalités décalées, des clichés et un zeste d'abracadabrant. De l'autre, je n'ai quand même pas pu lâcher le roman, curieuse de voir comment l'auteur allait se tirer de cet imbroglio et de cette galerie de personnages un peu folle.
Je vous laisse découvrir !!
Un peu au-dessus de la moyenne parce que j'aime bien Dicker et que les 100 dernières pages sont addictives. Mais please : moins de clichés, moins d'hommages mielleux gênants puissance 1000 à Bernard, moins de retours dans le temps à tire-la'rigot ! Première fois que je mets autant de temps à lire cet auteur ! Déçue et presque en colère...
Pour la première fois avec Dicker j'ai fait traîner ma lecture. Le tout me paraissait improbable, incohérent, les personnages étaient plats et mal construits... J'ai continué pour savoir la fin et cette fin m'a encore plus perdu et semblait téléscopée. On aurait dit un mauvais épisode de Scooby Doo... Même pas bon à lire sur la plage!
24eur bien mal investis. Personnages peu crédibles, écriture plate, longueurs et aucune vraisemblance. A se demander si Dicker n'est pas un Québert et aurait trouvé deux bons manuscrits au départ et que Séphanie et celui-ci seraient de sa plume... Oh que je suis méchante.