Synopsis
J’ai écrit « Le Dernier Temps » après avoir vu l’épisode de la marche du sel en Inde, magnifiée dans le film « Gandhi » de Richard Attenbourough. Je me suis demandé si une attitude non-violente était encore possible dans notre monde. Mon interrogation portait aussi sur la capacité de chacun à affronter des événements dont l’ampleur le dépasse.
La « grande histoire » est celle des Errants, peuple non-violent, capable de lire dans les pensées. Ils reviennent sur leur monde. Mais il a changé. Et ils sont de trop.
La « petite histoire » est la romance entre Joar, anthropologue envoyé pour les étudier, et Phéelle, jeune femme aux capacités si singulières.
Mais la petite histoire est peut-être la grande.
Les Errants, peuple nomade issu de la diaspora terrienne, reviennent sur leur planète d’accueil, transformée entre-temps en base industrielle. Un anthropologue est envoyé pour sonder leurs intentions. Sa rencontre avec une jeune autochtone bouscule ses convictions. Il découvre une communauté différente de toutes celles qu’il a étudiées jusque-là. Non-violents, poètes, les Errants s’exercent depuis des générations à élargir leur champ de conscience et sont capables de lire dans les pensées. Mais leur monde a changé et les Errants sont de trop.
Pour autant, j’ai souhaité beaucoup de douceur dans ce récit. L’anthropologue va découvrir des expériences extra-sensorielles nouvelles. Sa romance défendue, au vu de ses principes, va l’ouvrir à des émotions et à des voyages inattendus.
Le choix d’un monde futuriste est un prétexte. Les droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, à la différence, à habiter un monde où les intérêts économiques ne sont pas rois, sont des combats d’aujourd’hui.
Ce récit relève du conte. Il est sans illusion et sans concession. Il est dédié à tous ceux qui veulent croire en leurs forces intérieures, en leurs capacités ou pas d’influer la marche du monde, en un « ailleurs ». Surtout pas aux seuls fans d’anticipation.
La « grande histoire » est celle des Errants, peuple non-violent, capable de lire dans les pensées. Ils reviennent sur leur monde. Mais il a changé. Et ils sont de trop.
La « petite histoire » est la romance entre Joar, anthropologue envoyé pour les étudier, et Phéelle, jeune femme aux capacités si singulières.
Mais la petite histoire est peut-être la grande.
Les Errants, peuple nomade issu de la diaspora terrienne, reviennent sur leur planète d’accueil, transformée entre-temps en base industrielle. Un anthropologue est envoyé pour sonder leurs intentions. Sa rencontre avec une jeune autochtone bouscule ses convictions. Il découvre une communauté différente de toutes celles qu’il a étudiées jusque-là. Non-violents, poètes, les Errants s’exercent depuis des générations à élargir leur champ de conscience et sont capables de lire dans les pensées. Mais leur monde a changé et les Errants sont de trop.
Pour autant, j’ai souhaité beaucoup de douceur dans ce récit. L’anthropologue va découvrir des expériences extra-sensorielles nouvelles. Sa romance défendue, au vu de ses principes, va l’ouvrir à des émotions et à des voyages inattendus.
Le choix d’un monde futuriste est un prétexte. Les droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, à la différence, à habiter un monde où les intérêts économiques ne sont pas rois, sont des combats d’aujourd’hui.
Ce récit relève du conte. Il est sans illusion et sans concession. Il est dédié à tous ceux qui veulent croire en leurs forces intérieures, en leurs capacités ou pas d’influer la marche du monde, en un « ailleurs ». Surtout pas aux seuls fans d’anticipation.
Moyenne
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Les Errants forment un peuple étrange, non-violents, cheminant sans fin dans l’espace. Ils reviennent sur Fergiss, leur planète natale, dans l’attente d’un événement qui doit bouleverser leur futur. Mais Fergiss est maintenant occupée... Des thèmes contemporains comme l'exploitation effrénée des ressources, le pouvoir politique des entreprises,traités dans une coloration SF. Excellent !
Un excellent livre qui va bien au-delà d'un livre de SF. La plume de l'auteur est fluide et addictive, un excellent bouquin donc.
Science-fiction philosophique
L'auteur nous amène à nous interroger sur l’avenir, le devenir des hommes, les choix de vie, les remises en questions toujours possibles, l’ouverture d’esprit, la réponse à la violence par la non-violence, notre époque.
Douceur et noirceur s’opposent dans avec au milieu, quelques pions qui doutent.
Le compte à rebours commence jusqu'au "dernier temps".
La plume de l’auteur dans ce roman si différent du premier est addictive, les pages défilent rapidement. C’est poétique,
ça ressemble à un conte, il y a une morale. Et l’auteur laisse planer l’espoir que l’homme n’est pas perdu et qu’on peut encore évoluer vers du mieux.
Une belle histoire que je vous recommande.
La lecture, il y a cette étincelle d'espoir : vivre une aventure, hors du commun, vivifiante ou terrifiante.
Victor Hugo disait "L'homme a l'amour pour aile et pour joug le besoin." Ici Jean K. Saintfort a « l'amour d'un peuple et pour joug l'espoir ».
LE DERNIER TEMPS. Au-delà du récit, c'est un message de paix, un appel au respect et à la connaissance de l'autre et à ses différences.