Synopsis
Si le clan Caskey accuse le poids des ans, il est loin de s’être assagi : révélations écrasantes, unions insolites et réceptions fastueuses rythment leur vie dans une insouciance bienheureuse. Mais quelque chose surplombe Perdido, ses habitants et ses rivières. Le temps des prophéties est enfin venu.
Titre original : Blackwater, book 6: Rain (1983)
Moyenne
16.7
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BON
5 éditions pour ce livre
2022 Editions Monsieur Toussaint Louverture (Bibliothèque Michael McDowell)
Traduit par Yoko Lacour et Hélène Charrier
253 pages
17 juin 2022
ISBN : 9782381960500
2022 Editions Monsieur Toussaint Louverture (Bibliothèque Michael McDowell)
Traduit par Yoko Lacour et Hélène Charrier
253 pages
Format : ePub
17 juin 2022
ISBN : 9782381960500
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177 commentaires
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Bien que non convaincue par cette saga, je suis allée jusqu’au dernier tome. Certainement le meilleur, bien que la fin est sans réelle surprise puisqu’elle était annoncée dès le début, comme le rappelle Zaddie. Au bilan, une saga bien en deçà de ce que j’en espérais, mais agréable à lire. Mention spéciale pour les couvertures qui sont magnifiquement illustrées et annoncent le contenu du tome.
Un dernier tome un peu en deçà des autres, quelques questions restent en suspens. Mais cette saga est malgré tout incontournable !!!
Clap de fin de mon marathon Blackwater qui s’avère être une saga coup de cœur. Quelle tristesse de devoir dire adieu à ces personnages charismatiques et à cette histoire si particulière. J’en garderai un souvenir marquant, comme une étape de franchie. Il faut vivre au moins une fois l’expérience Blackwater dans sa vie de lecteur.
Bye bye la famille Caskey. Un feuilleton plus que réussi côté marketing. Pour le reste, je suis mitigée. De bons éléments dans cette chronique familiale mais pas certaine que la touche fantastique soit pertinente. Le pire reste mon détachement constant vis à vis des membres Caskey. Pas un pour relever l'autre ! Et dire que les femmes étaient à l'honneur...
Alors, voici venu le déluge… Construit comme un interminable épilogue, lancinant et fracassant lorsqu’enfin rompt le chapitre final, « Blackwater » manigance, brasse, éclot. Si ce tome n’est pas mon fétiche, il clôt pourtant une saga retentissante balayant de l’horrifique, à la simplicité cruelle de la vie. Renversant d’esprit !