Synopsis
Dans ces lettres inédites, Charles Bukowski livre sans fausse pudeur et sans artifices les détails de son quotidien, le cheminement de sa pensée tout au long de ces années, et la vie intellectuelle des éditeurs underground des années 1960-1970. Il évoque avec un humour féroce les différentes femmes qui l'accompagnent. On découvre également son rapport à l'histoire, ses réflexions sur la poésie - bien qu'il se défende de n'en avoir rien à faire.
Bukowski envoie souvent à ses amis des poèmes qu'il a tout juste achevés: ses lettres dévoilent alors une écriture à l'état brut et un travail en constante évolution. On retrouve pendant ces quatre décennies les mêmes destinataires: entre autres, E.V. Griffith, qui a publié son premier recueil de poèmes; Jon et Louise Webb, éditeurs de Bukowski mais aussi de William Burroughs et de Henry Miller; Carl Weissner, son éditeur allemand qui traduit son oeuvre et le fait connaître dès les années 1960 en Allemagne; enfin John Martin, fondateur de Black Sparrow Press, qui décide en 1966 de lui verser une rente à vie, pour que Bukowski quitte enfin le bureau de poste où il s'use la santé.
Même si sa soûlographie est un élément récurrent de toute sa correspondance, on retient d'abord de Bukowski sa sensibilité, son endurance, sa générosité, sa volonté de résister à toute forme d'obscurantisme moral, littéraire ou social. Il est aussi son propre juge, et c'est sans pitié qu'il se décrit, toujours avec humour.
(4ème de couverture)
Bukowski envoie souvent à ses amis des poèmes qu'il a tout juste achevés: ses lettres dévoilent alors une écriture à l'état brut et un travail en constante évolution. On retrouve pendant ces quatre décennies les mêmes destinataires: entre autres, E.V. Griffith, qui a publié son premier recueil de poèmes; Jon et Louise Webb, éditeurs de Bukowski mais aussi de William Burroughs et de Henry Miller; Carl Weissner, son éditeur allemand qui traduit son oeuvre et le fait connaître dès les années 1960 en Allemagne; enfin John Martin, fondateur de Black Sparrow Press, qui décide en 1966 de lui verser une rente à vie, pour que Bukowski quitte enfin le bureau de poste où il s'use la santé.
Même si sa soûlographie est un élément récurrent de toute sa correspondance, on retient d'abord de Bukowski sa sensibilité, son endurance, sa générosité, sa volonté de résister à toute forme d'obscurantisme moral, littéraire ou social. Il est aussi son propre juge, et c'est sans pitié qu'il se décrit, toujours avec humour.
(4ème de couverture)
Titre original : Screams from the Balcony / Living on Luck / Reach for the sun (2005)
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