La GangrèneSarah Vietti2015

Jadis, une blessure mal traitée et infectée était synonyme de gangrène puis d'amputation. Ici, il n'est pas question d'un membre palpable mais d'une douleur fantôme, une amputation du coeur, de l'espoir, qui est devenu la gangrène de l'auteure, grandissant, s'étendant dans chaque recoin pour ne laisser que le vide. Peu à peu, gagnant du terrain, il a conquis cette terre et l'a laissée pour morte, dévastée.
La Gangrène, c'est l'histoire d'une rupture. Cela fera peut-être écho en vous, peut-être pas, mais il y a une chose à savoir : il y a une fin à toute douleur.