Synopsis
Indépendant et incisif, parfois sarcastique, toujours provocant, Debussy a exercé le métier de critique avec une grande liberté. En exprimant des jugements sur les compositeurs de son temps et sur ceux du passé, il révèle qu’elles sont les œuvres qui ont nourri sa propre sensibilité.
Il nous dit pourquoi il n’aime pas Gluck, Berlioz, Saint-Saëns, les véristes italiens. Sur Beethoven, Wagner, Richard Strauss il donne des impressions très nuancées. Mais il est presque inconditionnel en faveur de Rameau, Weber, Moussorgsky. Quant à l’enseignement du Conservatoire, au répertoire artistique, Debussy avance des opinions dont le ton indépendant a choqué à l’époque et qui restent d’une singulière actualité.
Il nous dit pourquoi il n’aime pas Gluck, Berlioz, Saint-Saëns, les véristes italiens. Sur Beethoven, Wagner, Richard Strauss il donne des impressions très nuancées. Mais il est presque inconditionnel en faveur de Rameau, Weber, Moussorgsky. Quant à l’enseignement du Conservatoire, au répertoire artistique, Debussy avance des opinions dont le ton indépendant a choqué à l’époque et qui restent d’une singulière actualité.
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1987 Editions Gallimard (L'imaginaire)
362 pages
1er janvier 1971
ISBN : 9782070711079
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Anthologie d'écrits et chroniques musicales signés par Debussy pour divers journaux (L'Aurore, le Figaro...). Parce que son ton est parfois trop offensif, Debussy se cache derrière le personnage de Monsieur Croche afin de continuer de dire tout haut ce qu'il pense de ses homologues.
Il vaut mieux piocher ici et là une chronique plutôt que de tout lire d'une traite et ne pas apprécier...