Synopsis
‘‘En songeant à ses différents aspects, j’éprouvai une curiosité grandissante pour le genre de vie que les otages et leurs ravisseurs avaient mené ensemble durant six jours. Quel genre de communauté, le cas échéant, avait pu naître entre eux?? Qu’est-ce qui avait permis aux otages de tenir alors qu’un étranger armé venait soudainement de s’arroger la mainmise sur leurs vies?? Quelle considération celui-ci avait-il montrée pour ses prisonniers au fil des événements??’’
C’est l’histoire d’un braquage célèbre et spectaculaire, celui que chacun connaît sans même le savoir. Nous sommes le 23 août 1973, peu après l’ouverture des bureaux. Mitraillette dissimulée sous son blouson, Jan-Erik Olsson retient sous la menace quatre employés de la Kreditbank, place Norrmalmstorg, à Stockholm…
Olsson vient de s’évader de prison, c’est le coup le plus ambitieux de sa carrière. Il va jusqu’à obtenir de la police de faire sortir de prison son complice, un ancien camarade braqueur, mais devant leurs exigences de plus en plus inouïes, le ministre de la Justice oppose un refus catégorique. Face à l’intransigeance du gouvernement, Olsson prend ses quartiers dans la salle des coffres, hors de portée des tireurs d’élite.
La prise d’otages se prolonge sur plusieurs jours et tient toute la nation en haleine. Peu à peu, les otages commencent à développer un sentiment très fort d’empathie vis-vis de leurs geôliers et, à l’inverse, une hostilité grandissante pour la police, ce que l’on désignera bientôt comme le “syndrome de Stockholm”.
Ce reportage haletant et extravagant, paru pour la première fois dans le New Yorker en 1974, se fonde sur les témoignages du braqueur, des policiers, des psychiatres présents et des otages, passés du côté de leurs agresseurs. Du reste, aucun otage n’a par la suite voulu témoigner à charge contre ses ravisseurs…
C’est l’histoire d’un braquage célèbre et spectaculaire, celui que chacun connaît sans même le savoir. Nous sommes le 23 août 1973, peu après l’ouverture des bureaux. Mitraillette dissimulée sous son blouson, Jan-Erik Olsson retient sous la menace quatre employés de la Kreditbank, place Norrmalmstorg, à Stockholm…
Olsson vient de s’évader de prison, c’est le coup le plus ambitieux de sa carrière. Il va jusqu’à obtenir de la police de faire sortir de prison son complice, un ancien camarade braqueur, mais devant leurs exigences de plus en plus inouïes, le ministre de la Justice oppose un refus catégorique. Face à l’intransigeance du gouvernement, Olsson prend ses quartiers dans la salle des coffres, hors de portée des tireurs d’élite.
La prise d’otages se prolonge sur plusieurs jours et tient toute la nation en haleine. Peu à peu, les otages commencent à développer un sentiment très fort d’empathie vis-vis de leurs geôliers et, à l’inverse, une hostilité grandissante pour la police, ce que l’on désignera bientôt comme le “syndrome de Stockholm”.
Ce reportage haletant et extravagant, paru pour la première fois dans le New Yorker en 1974, se fonde sur les témoignages du braqueur, des policiers, des psychiatres présents et des otages, passés du côté de leurs agresseurs. Du reste, aucun otage n’a par la suite voulu témoigner à charge contre ses ravisseurs…
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