Synopsis
Au Japon, d’octobre à décembre 1984. Aux voix d’Aomamé et de Tengo se joint dans ce troisième volume celle du détective Ushikawa. Enrôlé par la secte des Précurseurs, Ushikawa se lance aux trousses de la tueuse et de l’écrivain, et lève un à un les voiles sur leur passé. Sous les deux lunes de 1Q84, un complexe jeu du chat et de la souris se met en place. Pour Aomamé et Tengo, le temps est désormais compté…
Titre original : 1Q84, book 3 (2010)
Moyenne
15.8
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BON
10 éditions pour ce livre
2024 Editions 10/18
Traduit par Hélène Morita avec l’aide de Tomoko Oono
619 pages
ISBN : 9782264085146
2021 Editions Belfond
Traduit par Hélène Morita
544 pages
ISBN : 9782714495723
2013 Editions France Loisirs
Traduit par Hélène Morita
656 pages
ISBN : 9782298062472
2013 Editions 10/18
Traduit par Hélène Morita
619 pages
ISBN : 9782264059260
2012 Editions Belfond
Traduit par Hélène Morita
530 pages
ISBN : 9782714449856
2012 Editions Le Grand Livre du Mois (Le Club)
Traduit par Hélène Morita
530 pages
ISBN : 9782286089382
2012 Editions Audiolib
Lu par Maia Baran, Emmanuel Dekoninck et Philippe Résimont
Durée : 1065 min
18 avril 2012
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47 commentaires
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Une belle fin pour cette trilogie, mais un pincement au cœur de se dire que cette trilogie que j'ai mis 3 ans à lire (oui j'ai pris mon temps ^^) est finie...
Un peu plus faible que les précédents, mais c'est juste pour introduire une petite nuance. toujours très bon.
Dommage... le troisième tome m'a semblé interminable, comme étiré dans le temps, coincé entre 1984 et 1Q84. Mais l'ensemble de la trilogie offre une belle cohérence, onirique à souhait.
Finalement, l'histoire d'amour de personnages solitaires en 3 volumes. Ne se classera pas parmi mes œuvres préférées de l'auteur, cela-dit c'est toute de même de la grande littérature.
cette balade onirique dans le monde de l’essentiel poétique nous enveloppe efficacement de cet état de plénitude, de sérénité. Loin des grands romans de l’auteur, celui-ci gagnera une petite place privilégiée. Nous restons tout étourdis à la lecture de la dernière page. Il réside ensuite comme un manque de féérie dans ce monde réel, et nous levons les yeux vers le ciel tel un réflexe Murakamien.