Synopsis
Parti d'Alaska pour tenter de relier à vélo les extrémités du continent américain, Philippe Jacq atteint Ushuaïa après une «chevauchée» solitaire de plus de 24 000 km.
A l'image des papillons monarques fuyant les températures hivernales, il quitte les parcs nationaux nord-americains et poursuit sa lente migration vers le Mexique. Entre éruptions volcaniques et tremblements de terre, il traverse l'Amérique Centrale avant de se hisser sur l'épine dorsale de la Cordillère des Andes.
Le rêve devient totalement réalité au Pérou, sur les rives du lac Titicaca. Au-delà, le Chili étire sa longue langue de terre jusqu'aux confins du continent. Mais pour atteindre enfin la ville la plus australe de la planète, il doit encore demander humblement aux vents de Patagonie l'autorisation de traverser leur territoire.
« Pour quelle raison aller à Ushuaïa ? Je n'y habite pas et n'y connais personne !
Rouler à 4000 m d'altitude sur un vélo chargé de trente kilos de bagages a-t-il un sens ... sinon celui de grandir un peu ? L'important ne réside pas dans la destination, mais... dans ce temps apparemment « perdu », cet espace où le voyageur en quête de lumière part à sa propre rencontre en se frottant à la différence de « l'autre », aux aspérités de la route, aux difficultés du voyage. »
Parcourir la Panaméricaine en solitaire laisse du temps au voyage intérieur.
Dans ses 30 kilos de bagages, Fidèle glissa une carte postale illustrant son tour du monde. Cette carte souvenir fût vendue en différents pays, mais également très souvent offerte aux personnes rencontrées en chemin qui offrirent leur hospitalité et leur aide
A l'image des papillons monarques fuyant les températures hivernales, il quitte les parcs nationaux nord-americains et poursuit sa lente migration vers le Mexique. Entre éruptions volcaniques et tremblements de terre, il traverse l'Amérique Centrale avant de se hisser sur l'épine dorsale de la Cordillère des Andes.
Le rêve devient totalement réalité au Pérou, sur les rives du lac Titicaca. Au-delà, le Chili étire sa longue langue de terre jusqu'aux confins du continent. Mais pour atteindre enfin la ville la plus australe de la planète, il doit encore demander humblement aux vents de Patagonie l'autorisation de traverser leur territoire.
« Pour quelle raison aller à Ushuaïa ? Je n'y habite pas et n'y connais personne !
Rouler à 4000 m d'altitude sur un vélo chargé de trente kilos de bagages a-t-il un sens ... sinon celui de grandir un peu ? L'important ne réside pas dans la destination, mais... dans ce temps apparemment « perdu », cet espace où le voyageur en quête de lumière part à sa propre rencontre en se frottant à la différence de « l'autre », aux aspérités de la route, aux difficultés du voyage. »
Parcourir la Panaméricaine en solitaire laisse du temps au voyage intérieur.
Dans ses 30 kilos de bagages, Fidèle glissa une carte postale illustrant son tour du monde. Cette carte souvenir fût vendue en différents pays, mais également très souvent offerte aux personnes rencontrées en chemin qui offrirent leur hospitalité et leur aide
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Dépaysant... superbe.