Synopsis
Un ouvrage décomplexé. Parler de l'avortement d'une manière positive permet de réaffirmer que l'IVG n'est pas une session de rattrapage pour mauvaises élèves, avec justificatifs et excuses à fournir. Il s'agit de clamer haut et fort que les femmes qui avortent ne sont ni des idiotes ni des inconséquentes, et n'ont pas à se sentir coupables,
honteuses ou forcément malheureuses. Il s'agit enfin de revendiquer le droit d'avorter la tête haute, parce que défendre le droit à l'avortement ne doit pas se limiter à quémander des miettes de tolérance ou un allongement de la corde autour du piquet : l'IVG est un droit, l'IVG est une solution, et c'est un choix qui doit être respecté.
J'ai avorté et je vais bien, merci contribue à la déstigmatisation de l'IVG en mettant en avant une large sélection de témoignages de femmes ayant avorté d'avant les années 1970 à nos jours. Le découpage chronologique fait apparaître à quel point les choses n'ont que très peu évolué au cours des 40 dernières années. Certains textes sont combattifs, d'autres très émouvants. Ils émanent de femmes différentes, qui ont des vécus différents, des expériences différentes, mais qui toutes souhaitent dire haut et fort que l'IVG n'est ni un drame, ni un traumatisme obligatoire.
Ce partage d'expérience vise aussi à remettre quelques pendules à l'heure, et à le faire sur un ton différent de celui habituellement employé. Pas de petits bruits étouffés, de chuchotements et de mines déconfites. Dans ce livre décomplexé qui s'adresse à toutes et tous, on sourit, on parle fort et on se permet de relever la tête.
Les filles des 343 sont un collectif de militantes féministes et du droit à l'avortement.
honteuses ou forcément malheureuses. Il s'agit enfin de revendiquer le droit d'avorter la tête haute, parce que défendre le droit à l'avortement ne doit pas se limiter à quémander des miettes de tolérance ou un allongement de la corde autour du piquet : l'IVG est un droit, l'IVG est une solution, et c'est un choix qui doit être respecté.
J'ai avorté et je vais bien, merci contribue à la déstigmatisation de l'IVG en mettant en avant une large sélection de témoignages de femmes ayant avorté d'avant les années 1970 à nos jours. Le découpage chronologique fait apparaître à quel point les choses n'ont que très peu évolué au cours des 40 dernières années. Certains textes sont combattifs, d'autres très émouvants. Ils émanent de femmes différentes, qui ont des vécus différents, des expériences différentes, mais qui toutes souhaitent dire haut et fort que l'IVG n'est ni un drame, ni un traumatisme obligatoire.
Ce partage d'expérience vise aussi à remettre quelques pendules à l'heure, et à le faire sur un ton différent de celui habituellement employé. Pas de petits bruits étouffés, de chuchotements et de mines déconfites. Dans ce livre décomplexé qui s'adresse à toutes et tous, on sourit, on parle fort et on se permet de relever la tête.
Les filles des 343 sont un collectif de militantes féministes et du droit à l'avortement.
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1 édition pour ce livre
2012 
Editions La ville brûle
144 pages
19 avril 2012
ISBN : 9782360120222
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Douze ans après sa sortie, ce recueil de témoignages est toujours aussi nécessaire face aux préjugés persistants sur le recours à l’IVG. À travers les paroles de femmes de tout âge et de toutes générations, on se rend compte (si ce n’est pas déjà fait) qu’il reste encore du chemin à parcourir avant que ce droit soit réellement perçu comme tel, sans discours culpabilisateurs.
Un ouvrage qui fait du bien pour rappeler que Oui, on peut avorter pour de multiples raisons et aller très bien après coup, ne pas finir traumatisée par l'acte (contrairement à une idée faussement répandue). Je regrette juste que les annexes ne soient pas mises à jour avec les quelques maigres avancées sur la question (comme le remboursement intégral des IVG par la sécurité sociale).