Synopsis
« Oui, mais non. Oui, cette nouvelle est excellente, mais non, elle n’est pas assez longue pour le format Chrono-Pages. Alors qu’en faire ? Comment permettre à nos amis lecteurs de la découvrir quand même?? Et si nous réunissions les textes trop courts dans des hors-séries semestriels?? Bonne idée ! Nous appellerons ça les Wiménons, ils ne seront disponibles que dans l’abonnement, et seulement au format papier. Ce sera notre façon bien à nous de remercier chaque Voyageur et chaque Voyageuse Lit-téraire pour son soutien au fil des mois. »
Moyenne
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1 nouvelle de SF très touchante, et 1 nouvelle de fantasy historique, du Del Socorro très efficace. Deux très bonnes lectures :)
Deux nouvelles très bien écrites et prenantes. La première offre une histoire nostalgique, loin des récits proposés en SF souvent confinés à des vaisseaux spatiaux, où la nostalgie et l'amour s'entremêlent. La deuxième nouvelle part au XVIIe siècle et suit un chasseur de sorcières et sa prise dans le nord-est de la France. Elle interroge sur la loyauté et le bien-fondé de son métier.
Que j'ai aimé la nouvelle d'Edouard Blaes. Elle met en avant ces gens laissés derrière pendant qu'on s'investit dans l'oeuvre d'une vie et nous parle d'amour perdu. C'est très émouvant, touchant. Parfait! La seconde est plus classique mais très bien menée. Elle évoque le questionnement de soi. Jusqu'à quand pouvons-nous assumer nos actes? Agissons-nous vraiment pour le bien de tous? Intéressant!
Un vieil homme nous invite dans son passé, vers son amour perdu. Il rend compte de ses choix, de ses joies et de sa douleur.
Venator, c'est le surnom d'un artbonnier, au service du roi qui se voit confier une mission qui le met en doute vis-à-vis de ses convictions. Il se trouve à un moment charnière de sa vie où une rencontre le trouble assez pour qu'il se remette en question ( ou pas). L'heure
Une première nouvelle, très mélancolique et émouvante, tout particulièrement réussie ! La seconde nouvelle est caractéristique de Del Socorro, bien rythmée et très bien écrite.