Synopsis
Troisième et dernière étape du voyage à pied de Bernard Ollivier le long de la Route de la Soie (après Longue marche et Vers Samarcande).
Au cours de ces dernières pages, le lecteur sera convié à franchir les neiges du Pamir, à se perdre dans les ruelles de Kashgar – seule métropole d’Asie centrale à vivre encore à l’heure des Mille et Unes Nuits –, à longer l’interminable désert du Taklamakan puis le Gobi, à pénétrer enfin dans la Chine des Han par le chemin des anciens pèlerins fidèles à l’enseignement du Bouddha…
L’écrivain marcheur, dans les derniers kilomètres, regrette la générosité de l’islam, si hospitalier au voyageur… et peine à retrouver ce qu’on appelle un peu sottement la « civilisation ». S’il tire quelques conclusions personnelles de son aventure, c’est sur le ton qu’on lui connaît : réservé, pudique – et toujours aussi méfiant à l’endroit de la « littérature »…
Ce dont s’émerveillait déjà Pierre Lepape, il y a quelques saisons, en lui consacrant son « feuilleton » du Monde : « Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu’il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés : simplement, avec pour seul souci, plutôt que la belle page, le compte rendu véritable de son expérience. Il ne voyage pas pour écrire, ni pour faire un livre. Il voyage comme le font tant de héros de Conrad : pour se découvrir. » --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Au cours de ces dernières pages, le lecteur sera convié à franchir les neiges du Pamir, à se perdre dans les ruelles de Kashgar – seule métropole d’Asie centrale à vivre encore à l’heure des Mille et Unes Nuits –, à longer l’interminable désert du Taklamakan puis le Gobi, à pénétrer enfin dans la Chine des Han par le chemin des anciens pèlerins fidèles à l’enseignement du Bouddha…
L’écrivain marcheur, dans les derniers kilomètres, regrette la générosité de l’islam, si hospitalier au voyageur… et peine à retrouver ce qu’on appelle un peu sottement la « civilisation ». S’il tire quelques conclusions personnelles de son aventure, c’est sur le ton qu’on lui connaît : réservé, pudique – et toujours aussi méfiant à l’endroit de la « littérature »…
Ce dont s’émerveillait déjà Pierre Lepape, il y a quelques saisons, en lui consacrant son « feuilleton » du Monde : « Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu’il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés : simplement, avec pour seul souci, plutôt que la belle page, le compte rendu véritable de son expérience. Il ne voyage pas pour écrire, ni pour faire un livre. Il voyage comme le font tant de héros de Conrad : pour se découvrir. » --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Moyenne
16.0
5 votes
BON
Saga Longue marche Terminée
1 édition pour ce livre
Qui a lu ce livre ?
10 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
7 membres veulent lire ce livre
13 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Aucun commentaire pour le moment.