Synopsis
Cocteau l’appelait l’impératrice de la Beauté. Picasso a fait d’elle quarante-quatre esquisses d’un portrait jamais achevé. < Quel phénomène > a dit d’elle Malraux. Dans la société, elle était la princesse Gourielli, mais pour son personnel, c’était Madame. Helena Rubinstein avait à peine dix-huit ans quand elle arriva de sa Pologne natale en Australie avec une recette familiale de crème de beauté. Quand elle mourrut à quatre-vingt-dix ans passés, elle était devenue une des dix femmes les plus riches du monde.
Un profil d’aigle, des bijoux fabuleux, une volonté farouche, elle alliait le goût du risque à un sens extraordinaire des affaires. Qu’elle rachète sa propre entreprise à un banquier américain qui lui avait payée deux fois plus cher, qu’elle discute avec Georges Pompidou de la reprise de ses appartements parisiens ou qu’elle lance et baptise un nouveau produit, elle est restée jusqu’à son dernier souffle une lutteuse infatigable, imposant son mode et son rythme de vie et terrorisant son entourage et sa famille.
Assistant personnel, homme à tout faire et confident de Madame pendant les quatorze dernières années de sa vie, Patrick O’Higgins a subi ses caprices, sa tyrannie, mais aussi sa fascination. C’est sa vie d’enfer avec un monstre sacré qu’il raconte avec un talent et un humour qui ont fait de son livre un des best-sellers américains de 1971.
Un profil d’aigle, des bijoux fabuleux, une volonté farouche, elle alliait le goût du risque à un sens extraordinaire des affaires. Qu’elle rachète sa propre entreprise à un banquier américain qui lui avait payée deux fois plus cher, qu’elle discute avec Georges Pompidou de la reprise de ses appartements parisiens ou qu’elle lance et baptise un nouveau produit, elle est restée jusqu’à son dernier souffle une lutteuse infatigable, imposant son mode et son rythme de vie et terrorisant son entourage et sa famille.
Assistant personnel, homme à tout faire et confident de Madame pendant les quatorze dernières années de sa vie, Patrick O’Higgins a subi ses caprices, sa tyrannie, mais aussi sa fascination. C’est sa vie d’enfer avec un monstre sacré qu’il raconte avec un talent et un humour qui ont fait de son livre un des best-sellers américains de 1971.
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1971
Editions Robert Laffont (Vécu)
Traduit par Jeanne Mignot
348 pages
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