Synopsis
Un roman érotique majeur de Jacques Abeille. Le portrait d’une femme insoumise servi par une écriture aussi simple que puissante.
« Si je fus bouvier, c’était qu’en moi le sang des âges lointains ne s’était pas assagi. »… Par goût de la solitude, un homme s’est choisi une vie d’errance et va, au gré de ses envies, de ferme en ferme pour offrir ses services journaliers. Mais la quiétude de son existence silencieuse se voit rompue un après-midi par une apparition. Alors qu’il erre dans la campagne, le vagabond surprend une bergère emportée par l’ardeur de ses sens, et qui offre son cul à une touffe d’orties. S’initie alors entre l’homme sans attache et la jeune femme sauvage une quête éperdue du désir et de la plus violente liberté…
À l’instar d’Histoire d’O, l’écriture d’Histoire de la bergère est née d’un jeu littéraire et érotique entre deux amants. Séparé par les circonstances d’une femme qu’il aimait, Jacques Abeille voulait offrir à sa maîtresse un roman d’une sensualité susceptible de lui plaire. Il imagina ainsi la vie d’une femme farouche, assoiffée d’expériences et de liberté, mais prisonnière d’une famille qui avait déjà pour elle un chemin tout tracé.
Cette figure de femme insoumise est au cœur de la trilogie que Léo Barthe (pseudonyme de Jacques Abeille dédié à ses textes érotiques) a intitulé De la vie d’une chienne et dont Histoire de la bergère est le premier volume. Cette trilogie fut initialement publiée par les éditions Climats entre 2002 et 2003, dans un relatif anonymat. La reconnaissance dont jouit ultérieurement l’œuvre de Jacques Abeille imposait la redécouverte de ces trois magnifiques romans dédiés aux désirs les plus crus et à l’émancipation des femmes.
« Mon cœur a fait un saut et s’est partagé quand j’ai vu jaillir son cul, son cul si pâle qu’elle tendait par mégarde à portée de ma main. J’aurais voulu la prévenir que sa peau dans son intimité la plus tendre risquait d’être brûlée par les orties. En même temps je désirais que cette cruauté acérée crispe sa chair. Comme si mon désir était contagieux, je l’ai vu reculer, se tendre sur ses cuisses tremblantes dans la direction des feuilles urticantes qu’elle ne pouvait voir. A n’en pas douter, elle cherchait à se faire griffer par la pointe des feuilles. Elle s’est relâchée pour se soulager... Une courte brise a passé sur la pointe des hautes herbes. Les orties ont cambré leur tige et de la tête ont balayé les fesses ouvertes. La bergère a laissé échapper un gémissement rauque. »
« Si je fus bouvier, c’était qu’en moi le sang des âges lointains ne s’était pas assagi. »… Par goût de la solitude, un homme s’est choisi une vie d’errance et va, au gré de ses envies, de ferme en ferme pour offrir ses services journaliers. Mais la quiétude de son existence silencieuse se voit rompue un après-midi par une apparition. Alors qu’il erre dans la campagne, le vagabond surprend une bergère emportée par l’ardeur de ses sens, et qui offre son cul à une touffe d’orties. S’initie alors entre l’homme sans attache et la jeune femme sauvage une quête éperdue du désir et de la plus violente liberté…
À l’instar d’Histoire d’O, l’écriture d’Histoire de la bergère est née d’un jeu littéraire et érotique entre deux amants. Séparé par les circonstances d’une femme qu’il aimait, Jacques Abeille voulait offrir à sa maîtresse un roman d’une sensualité susceptible de lui plaire. Il imagina ainsi la vie d’une femme farouche, assoiffée d’expériences et de liberté, mais prisonnière d’une famille qui avait déjà pour elle un chemin tout tracé.
Cette figure de femme insoumise est au cœur de la trilogie que Léo Barthe (pseudonyme de Jacques Abeille dédié à ses textes érotiques) a intitulé De la vie d’une chienne et dont Histoire de la bergère est le premier volume. Cette trilogie fut initialement publiée par les éditions Climats entre 2002 et 2003, dans un relatif anonymat. La reconnaissance dont jouit ultérieurement l’œuvre de Jacques Abeille imposait la redécouverte de ces trois magnifiques romans dédiés aux désirs les plus crus et à l’émancipation des femmes.
« Mon cœur a fait un saut et s’est partagé quand j’ai vu jaillir son cul, son cul si pâle qu’elle tendait par mégarde à portée de ma main. J’aurais voulu la prévenir que sa peau dans son intimité la plus tendre risquait d’être brûlée par les orties. En même temps je désirais que cette cruauté acérée crispe sa chair. Comme si mon désir était contagieux, je l’ai vu reculer, se tendre sur ses cuisses tremblantes dans la direction des feuilles urticantes qu’elle ne pouvait voir. A n’en pas douter, elle cherchait à se faire griffer par la pointe des feuilles. Elle s’est relâchée pour se soulager... Une courte brise a passé sur la pointe des hautes herbes. Les orties ont cambré leur tige et de la tête ont balayé les fesses ouvertes. La bergère a laissé échapper un gémissement rauque. »
Moyenne
17.5
2 votes
TRES BON
1 édition pour ce livre
2017 Editions Le Tripode
150 pages
19 octobre 2017
ISBN : 9782370550965
Qui a lu ce livre ?
5 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
1 membre veut lire ce livre
3 membres possèdent ce livre
1 chronique de blog
-
29 Novembre 2024Livrepoche.fr (Nicolas)17 / 20Lire la chronique
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
1 commentaire
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
-
17 / 20 Le 29 Novembre 2024 à 22:06 Livrepoche.fr (Nicolas)
Un très bon roman rural qui n'oublie pas la chair mais ne manque pas d'émotion.