Synopsis
« Les Inuit sont un peuple de chasseurs nomades se déployant dans l’Arctique depuis un millier d’années. Jusqu’à très récemment, ils n’avaient d’autres ressources à leur survie que les animaux qu’ils chassaient, les pierres laissées libres par la terre gelée, les plantes et les baies poussant au soleil de minuit. Ils partagent leur territoire immense avec nombre d’animaux plus ou moins migrateurs, mais aussi avec les esprits et les éléments. L’eau sous toutes ses formes est leur univers constant, le vent entre dans leurs oreilles et ressort de leurs gorges en souffles rauques. Pour toutes les occasions, ils ont des chants, qu’accompagne parfois le battement des tambours chamaniques. » (note liminaire du roman)
Dans ce monde des confins, une nuit, une fracture de la banquise sépare une jeune femme inuit de sa famille. Uqsuralik se voit livrée à elle-même, plongée dans la pénombre et le froid polaire. Elle n’a d’autre solution pour survivre que d’avancer, trouver un refuge. Commence ainsi pour elle, dans des conditions extrêmes, le chemin d’une quête qui, au-delà des vastitudes de l’espace arctique, va lui révéler son monde intérieur.
Deux ans après son roman Née contente à Oraibi, qui nous faisait découvrir la culture des indiens hopis, Bérengère Cournut poursuit sa recherche d’une vision alternative du monde avec un roman qui nous amène cette fois-ci dans le monde inuit. Empreint à la fois de douceur, d’écologie et de spiritualité, De pierre et d’os nous plonge dans le destin solaire d’une jeune femme eskimo.
Dans ce monde des confins, une nuit, une fracture de la banquise sépare une jeune femme inuit de sa famille. Uqsuralik se voit livrée à elle-même, plongée dans la pénombre et le froid polaire. Elle n’a d’autre solution pour survivre que d’avancer, trouver un refuge. Commence ainsi pour elle, dans des conditions extrêmes, le chemin d’une quête qui, au-delà des vastitudes de l’espace arctique, va lui révéler son monde intérieur.
Deux ans après son roman Née contente à Oraibi, qui nous faisait découvrir la culture des indiens hopis, Bérengère Cournut poursuit sa recherche d’une vision alternative du monde avec un roman qui nous amène cette fois-ci dans le monde inuit. Empreint à la fois de douceur, d’écologie et de spiritualité, De pierre et d’os nous plonge dans le destin solaire d’une jeune femme eskimo.
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5 éditions pour ce livre
2020 Editions Le Tripode
240 pages
1er octobre 2020
ISBN : 9782370552419
2019 Editions Le Tripode
256 pages
29 août 2019
ISBN : 9782370552129
2019 Editions Le Tripode
256 pages
Format : ePub
ISBN : 9782370552129
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86 commentaires
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j'ai adoré ce livre. Une pépite. L'auteur nous plonge dans la dure vie des inuits au travers de l'histoire d'une jeune femme. Beaucoup de poésie, d'écologie, de spiritualité
Éblouissant poème dépeignant sur la longueur le parcours d'une Inuit en lutte perpétuelle pour la Vie, jusqu'au-delà de la Mort, imprégnée de sa culture chamanique d'acceptation, en communion avec les éléments, les êtres et les esprits qui l'entourent. Roman à-part qu'on termine la gorge serrée et les yeux embués...
Point de description de sentiments dans ce roman, on les ressent, on les vit mais ils ne sont pas dits, nous plongeant dans la rudesse de ce monde hostile, et nous faisant mieux ressentir encore le mode de vie des Inuits. L’auteure s’est documentée pendant plusieurs mois avant d’écrire ce roman qui décrit la vie sur la banquise dans sa rudesse, ses joies, ses croyances, ses peines. Un roman très a
Etrange et envoûtant. Un mode de vie tellement dur (même s'il a évolué depuis il reste certainement difficile) et des pratiques rituelles complexes ne peuvent qu'étonner le lecteur occidental. Je connaissais déjà certains termes usuels et esprits. Cela m'a permis de me concentrer sur le reste. Tant mieux car ce n'est pas une lecture "simple". Une très belle lecture, qui se mérite.
Alors contrairement aux avis positifs que j'ai pu lire et qui m'avait donné envie de lire ce livre j'ai trouvé ce récit violent et glauque. J'ai été mal à l'aise durant toute ma lecture même si je ne peux pas nier le travail de recherche bibliographique qu'il y a derrière. Le seul point positif ce sont les belles photos ajoutées à la fin qui montre bien ce travail justement.