Synopsis
Vipère au poing, c’est le combat impitoyable livré par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frères, à leur mère, une femme odieuse, qu’ils ont surnommée Folcoche. Cri de haine et de révolte, ce roman, largement autobiographique, le premier d’Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d’emblée parmi les écrivains contemporains les plus lus.
Moyenne
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MOYEN
20 éditions pour ce livre
2020 Editions Le Livre de Poche (Classiques)
237 pages
ISBN : 9782253237617
2014 Editions Le Livre de Poche
240 pages
7 mars 1973
ISBN : 2253001457
2013 Editions Grasset (Les Cahiers Rouges)
220 pages
ISBN : 9782246790266
2007 Editions Le Livre de Poche
186 pages
ISBN : 9782253001454
2004 Editions Le Livre de Poche
186 pages
ISBN : 2253001457
2000 Editions Le Livre de Poche
192 pages
ISBN : 9782253001454
1999 Editions Le Livre de Poche
185 pages
1er juin 1999
ISBN : 9782253001454
1983 Editions Le Livre de Poche
318 pages
mai 1983
ISBN : 9782253001454
1974 Editions Le Livre de Poche
318 pages
ISBN : 2253001457
1948 Editions Le Livre de Poche
255 pages
ISBN : 2253001457
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63 commentaires
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Une histoire tellement dure et tellement belle à la fois.
Les sentiments, qu'ils soient implicites ou non sont forts. Il n'y a presque pas de demie-mesure.
Il est même assez difficile d'en parler. Si vous n'avez pas réussi à lire le livre, tentez au moins de voir le film, il ne laisse pas indifférent.
Un roman marquant et une écriture immersive, un grand classique.
Une écriture incisive, un sujet difficile que celui de la maltraitance et de la complexité des sentiments pour un roman saisissant qui ne peut laisser insensible. A découvrir !
Un livre agréable où les sentiments sont présents, même s'ils sont négatifs. J'ai tout de même trouvé son ressenti parfois dur...même si somme toute légitime.
Malgré le fait que pas mal de mes proches aient adorés, j’ai été bien plus mitigée. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai été mal à l’aise tout le long, car les personnages sont difficilement attachants, à cause des réflexions qui m’ont fait grincer des dents (le sexisme de l’epoque se fait ressentir) ou le style d’écriture qui, bien que poignant, n’a pas réussi à me parler plus que ça.