Synopsis
Déprimé et soucieux de se refaire une santé, un jeune Anglais s’embarque sur l’Elseneur avec pour équipage une bande d’éclopés et de repris de justice. Très vite pris dans une mutinerie déclenchée au passage du cap Horn, confronté à des assassins assoiffés du sang de leurs supérieurs, il se découvre soudain une férocité insoupçonnée. Quoi de plus précieux que la vie dès lors que l’on se doit de défendre celle de l’énigmatique fille du capitaine ?
Écrit au sortir d’une grave dépression éthylique, ce livre pose avec violence une question transversale à l’œuvre de Jack London : celle de la force brute et du mal, dans une société régie par la loi du plus fort.
Écrit au sortir d’une grave dépression éthylique, ce livre pose avec violence une question transversale à l’œuvre de Jack London : celle de la force brute et du mal, dans une société régie par la loi du plus fort.
Titre original : The Mutiny Of The Elsinore (2004)
Moyenne
13.6
5 votes
MOYEN
2 éditions pour ce livre
1975 Editions Hachette (Bibliothèque Rouge)
Traduit par P. GRUYER et L. POSTIF
251 pages
ISBN : 2010016599
Qui a lu ce livre ?
6 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
11 membres veulent lire ce livre
9 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Un très beau roman de Jack London. Je me suis plongée dedans, avec une délicieuse horreur : très sombre, le roman donne à voir l'humanité. Porteur d'une réelle dimension sociale, ce roman m'a fait passer un très beau moment, d'autant qu'il est magnifiquement écrit. Encore une bonne raison d'aimer Jack London...
Que d'originalités : rythme assez lent, répétitions, narrateur ponctuellement giflable... Qui font tout le charme du roman. Les répétitions créent une ambiance, une tension, un suspens. La lenteur de l'action m'a plu (ne vous attendez pas à voir la mutinerie avant que de nombreuses pages aient défilé). Le sujet serait plus les causes, ce qui y mène que la mutinerie elle-même.