Synopsis
Famine.
Chaque vengeance a son prix.
Ana de Silva a toujours su qu’elle mourrait jeune. Elle ne s’attendait simplement pas à ce que ce soit des mains de Famine. Lui, qui l’avait épargnée des années auparavant.
Mais la mort ne veut pas d’elle.
La cruauté est un domaine dans lequel Famine excelle. Et ces salauds méritent tout son talent. Malgré ses efforts, il ne peut oublier ce qu’ils lui ont fait. Mais quand Ana, un fantôme du passé, le rattrape et lui promet mille souffrances pour ce qu’il lui a fait subir, elle le fascine suffisamment pour qu’il décide de la garder en vie.
Certes, Ana et Famine sont attirés l’un par l’autre, mais ils restent ennemis. Rien ne peut changer ça. Pas même un premier acte de bonté ni un deuxième. Et surtout pas quelques nuits de passion. Toutefois, quoi qu’ils soient l’un pour l’autre, s’ils n’arrêtent pas bientôt leurs petits jeux, le Ciel le fera pour eux.
Mort.
Il est la Mort en personne ; elle est le seul être sur lequel il n’a aucune emprise.
Le jour où Mort anéantit toute la population de la ville de Lazarus Gaumond, il ne s’attend pas à voir une femme encore vivante. Ce qu’il ne sait pas c’est que Lazarus a elle aussi un don extraordinaire : elle ne peut être tuée, ni par les humains, ni par les éléments, ni par Mort lui-même.
Elle est la seule âme que Mort ne reconnaît pas. La seule qu’il ne peut libérer de sa chair. Et il ne peut pas non plus ignorer l’attirance troublante qu’il éprouve pour elle.
Lorsque Lazarus croise le chemin des trois autres Cavaliers, d’une situation inconcevable naît un marché désespéré : séduire Mort, sauver le monde.
La fin est arrivée. L’humanité est destinée à périr, et même les Cavaliers ne peuvent empêcher Mort d’accomplir son dessein ultime.
Seule Lazarus en est capable.
Chaque vengeance a son prix.
Ana de Silva a toujours su qu’elle mourrait jeune. Elle ne s’attendait simplement pas à ce que ce soit des mains de Famine. Lui, qui l’avait épargnée des années auparavant.
Mais la mort ne veut pas d’elle.
La cruauté est un domaine dans lequel Famine excelle. Et ces salauds méritent tout son talent. Malgré ses efforts, il ne peut oublier ce qu’ils lui ont fait. Mais quand Ana, un fantôme du passé, le rattrape et lui promet mille souffrances pour ce qu’il lui a fait subir, elle le fascine suffisamment pour qu’il décide de la garder en vie.
Certes, Ana et Famine sont attirés l’un par l’autre, mais ils restent ennemis. Rien ne peut changer ça. Pas même un premier acte de bonté ni un deuxième. Et surtout pas quelques nuits de passion. Toutefois, quoi qu’ils soient l’un pour l’autre, s’ils n’arrêtent pas bientôt leurs petits jeux, le Ciel le fera pour eux.
Mort.
Il est la Mort en personne ; elle est le seul être sur lequel il n’a aucune emprise.
Le jour où Mort anéantit toute la population de la ville de Lazarus Gaumond, il ne s’attend pas à voir une femme encore vivante. Ce qu’il ne sait pas c’est que Lazarus a elle aussi un don extraordinaire : elle ne peut être tuée, ni par les humains, ni par les éléments, ni par Mort lui-même.
Elle est la seule âme que Mort ne reconnaît pas. La seule qu’il ne peut libérer de sa chair. Et il ne peut pas non plus ignorer l’attirance troublante qu’il éprouve pour elle.
Lorsque Lazarus croise le chemin des trois autres Cavaliers, d’une situation inconcevable naît un marché désespéré : séduire Mort, sauver le monde.
La fin est arrivée. L’humanité est destinée à périr, et même les Cavaliers ne peuvent empêcher Mort d’accomplir son dessein ultime.
Seule Lazarus en est capable.
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