Synopsis
Washington, 1937. John Clark, journaliste photoreporter de 22 ans, est engagé par la Farm Security Administration, l'organisme gouvernemental chargé d'aider les fermiers victimes de la Grande Dépression. Sa mission : témoigner de la situation dramatique des agriculteurs du Dust Bowl. Située à cheval sur l'Oklahoma, le Kansas et le Texas, cette région est frappée par la sécheresse et les tempêtes de sable plongent les habitants dans la misère.
En Oklahoma, John tente de se faire accepter par la population. Au cours de son séjour, qui prend la forme d'un voyage initiatique, il devient ami avec une jeune femme, Betty. Grâce à elle, il prend conscience du drame humain provoqué par la crise économique. Mais il remet en question son rôle social et son travail de photographe...
En Oklahoma, John tente de se faire accepter par la population. Au cours de son séjour, qui prend la forme d'un voyage initiatique, il devient ami avec une jeune femme, Betty. Grâce à elle, il prend conscience du drame humain provoqué par la crise économique. Mais il remet en question son rôle social et son travail de photographe...
Titre original : Dagen van zand (2021)
Moyenne
17.6
216 votes
TRES BON
1 édition pour ce livre
2021 Editions Dargaud
Traduit par Jérôme Wicky
288 pages
21 mai 2021
ISBN : 9782505082545
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40 commentaires
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Très belle Bd qui a pour contexte un phénomène hallucinant.
J'en avais entendu tellement de bien que j'y suis allé sur la réserve, mais sa réputation est méritée ! Les dessins m'ont embarqués dès le début alors qu'ils ne me parlaient pas + que ça au feuilletage. Le personnage principal s'est révélé attachant en quelques pages. Impossible de lâcher ce récit jusqu'à la fin. Une histoire touchante qui effleure des thèmes profonds. Une très belle découverte !
Le graphisme est sublime ! Les paysages, la colorisation, l'immersion dans ce no man's land des Etats-Unis est réussie. Par contre, l'histoire va très vite et me laisse un goût de trop peu.
Beau et âpre. On est frappé par la beauté inquiétante de ces paysages quasi lunaires, par l'absence de lumière traversée de particules, par le minéral qui recouvre, s'infiltre, remplit sans cesse les êtres vivants, les habitations, la végétation qui a depuis longtemps capitulé. Seuls restent les plus pauvres que le sable tuera avant la faim. Une très belle colorisation pour cette pépite graphique.
J'ai adoré!!