Synopsis
Ziyi est un petit être étrange. C’est une sorte d’animal, mais il peut être aussi un extra-terrestre. Il ressemble à un renard, à une belette, à un lémurien, à un humanoïde venu d’ailleurs… Il est recouvert de poil et peut galoper à quatre pattes. Il peut également marcher sur les pattes de derrière. Il est anthropomorphique. Il n’a pas de queue, ni d’oreilles. Ses yeux sont très grands et expriment toutes les émotions du monde. C’est un être simple qui réagit sur l’instant. Il n’est pas capable de mauvaise intention.
« Ziyi » peut être considéré comme un récit d’anticipation pré-apocalyptique, mais peut également se voir comme une parabole sur notre époque. L’homme continue à détruire la nature. Cette nature est elle-même pervertie au point qu’il s’en dégage une violence constante. Ziyi est une fable pessimiste. Seule note d’espoir au milieu de ce tableau bien sombre, Ziyi, le personnage, le petit animal au gros cœur, la boule d’émotion. On peut voir en Ziyi la volonté (et sans doute la naïveté) de ceux qui ne veulent plus d’un monde qui court à sa perte par la violence et la connerie des hommes. Bien entendu, loin d’un symbolisme simpliste, on peut lire Ziyi comme un roman noir, comme une aventure faite de sueur, de larmes et de sang, dans des contrées dévastées plongées dans une sordide ambiance pré-chaotique.
« Ziyi » est un roman graphique noir et blanc et muet qui raconte la découverte par des hommes de la petite créature. Devant la cruauté de ceux qui l’ont asservi, Ziyi s’évade. Il traverse villes et campagnes dévastée. Il y rencontre des fouines, des chiens, une petite fille, un ours, un faon et sa mère… et encore bien des êtres déstabilisants. La gentillesse est vite anéantie par la cruauté… Ce long parcours se termine par un triste mais obligatoire retour par la case départ.
« Ziyi » peut être considéré comme un récit d’anticipation pré-apocalyptique, mais peut également se voir comme une parabole sur notre époque. L’homme continue à détruire la nature. Cette nature est elle-même pervertie au point qu’il s’en dégage une violence constante. Ziyi est une fable pessimiste. Seule note d’espoir au milieu de ce tableau bien sombre, Ziyi, le personnage, le petit animal au gros cœur, la boule d’émotion. On peut voir en Ziyi la volonté (et sans doute la naïveté) de ceux qui ne veulent plus d’un monde qui court à sa perte par la violence et la connerie des hommes. Bien entendu, loin d’un symbolisme simpliste, on peut lire Ziyi comme un roman noir, comme une aventure faite de sueur, de larmes et de sang, dans des contrées dévastées plongées dans une sordide ambiance pré-chaotique.
« Ziyi » est un roman graphique noir et blanc et muet qui raconte la découverte par des hommes de la petite créature. Devant la cruauté de ceux qui l’ont asservi, Ziyi s’évade. Il traverse villes et campagnes dévastée. Il y rencontre des fouines, des chiens, une petite fille, un ours, un faon et sa mère… et encore bien des êtres déstabilisants. La gentillesse est vite anéantie par la cruauté… Ce long parcours se termine par un triste mais obligatoire retour par la case départ.
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Ziyi constitue un roman graphique d'anticipation post-apocalyptique.
C'est une sorte de conte contemporain, comme une parabole de notre société. Il pose clairement question sur l'état du monde et ce que nous, les Hommes, en avons fait et en faisons.
Superbe découverte.