Synopsis
Récit de voyage publié en feuilleton dans "La Presse" (mai-octobre 1840), puis éd. sous le titre "Tra los montes" (1843), et en 1848 sous le titre définitif.
C'est le récit d'un voyage accompli par l'auteur en 1840. L'écrivain a parcouru toute l'Espagne, de la Bidassoa aux bouches de l'Ebre, en passant par Valladolid, Madrid, Séville, Cordoue et Grenade. Il l'a vue en peintre et en poète, tout aux impressions d'art et aux souvenirs littéraires. (http://www.cosmovisions.com/textVoyageGautier.htm)
«Il n'existe pas sur la palette du peintre ou de l'écrivain de couleurs assez claires, de teintes assez lumineuses pour rendre l'impression éclatante que nous fit Cadix dans cette glorieuse matinée. Deux teintes uniques vous saisissaient le regard : du bleu et du blanc ; mais du bleu aussi vif que la turquoise, le saphir, le cobalt ; mais du blanc aussi pur que l'argent, le lait, la neige, le marbre ! Le bleu, c'était le ciel, répété par la mer ; le blanc, c'était la ville. On ne saurait rien imaginer de plus radieux, de plus étincelant, d'une lumière plus diffuse et plus intense à la fois. Vraiment, ce que nous appelons chez nous le soleil n'est à côté de cela qu'une pâle veilleuse à l'agonie sur la table de nuit d'un malade.»
C'est le récit d'un voyage accompli par l'auteur en 1840. L'écrivain a parcouru toute l'Espagne, de la Bidassoa aux bouches de l'Ebre, en passant par Valladolid, Madrid, Séville, Cordoue et Grenade. Il l'a vue en peintre et en poète, tout aux impressions d'art et aux souvenirs littéraires. (http://www.cosmovisions.com/textVoyageGautier.htm)
«Il n'existe pas sur la palette du peintre ou de l'écrivain de couleurs assez claires, de teintes assez lumineuses pour rendre l'impression éclatante que nous fit Cadix dans cette glorieuse matinée. Deux teintes uniques vous saisissaient le regard : du bleu et du blanc ; mais du bleu aussi vif que la turquoise, le saphir, le cobalt ; mais du blanc aussi pur que l'argent, le lait, la neige, le marbre ! Le bleu, c'était le ciel, répété par la mer ; le blanc, c'était la ville. On ne saurait rien imaginer de plus radieux, de plus étincelant, d'une lumière plus diffuse et plus intense à la fois. Vraiment, ce que nous appelons chez nous le soleil n'est à côté de cela qu'une pâle veilleuse à l'agonie sur la table de nuit d'un malade.»
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