Synopsis
Estelle, trentenaire un peu perdue dans sa vie intime, est infirmière dans une maison de retraite. Dans cet univers professionnel empreint de parties de cartes, de rêves inachevés et de morts solitaires, la jeune femme va tisser des relations particulières avec les résidents, les écouter et appréhender leur souffrance jusqu’à vouloir commettre l’irréparable…
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C’est une œuvre poignante, une expérience qui fauche l’esprit et qui remet en question beaucoup d’ignorance et d’indifférence. Je me questionne davantage aujourd’hui sur la fin de l’existence et plus encore, sur ce dévouement de ces soignants qui souffrent devant tant de souffrance et de maltraitance.
Une BD très poignante, émouvante parce qu'elle touche la terrible vieillesse : des êtres en fin de vie, des infirmières et aides soignantes accompagnant es des gestes quotidiens mais aussi des derniers rêves, des derniers souffles. Un récit coup de poing qui ne manque pas de nous questionner. Bouleversant.
Les dessins sont très beaux. Le début de l'histoire semblait prometteur mais je n'ai pas du tout compris la fin. On ressent de la mélancolie et du mal être mais la conclusion m'échappe.
Je reste convaincue mais un peu sceptique... si j'ai aimé les illustrations, j'ai eu plus de mal avec les personnages. Au final, j'ai eu l'impression d'être passée à côté de quelque chose.
La dame blanche est une magnifique BD. Quentin Zuttion ré-humanise les personnes âgées en EHPAD. Avec leurs corps, leur intimité et leurs émotions quelles qu’elles soient. Il ré-humanise également les soignants, aidants et accompagnants. On ne se met jamais à leur place, à ces personnes qui doivent tout le temps dire Adieu. Grâce aux illustrations, il nous transmet cette douceur.