Synopsis
Crazy Horse fut sans contexte le plus grand de tous les chefs de guerre sioux. Très tôt, il perçut le danger que représentait l'avancée des colons pour son peuple. Il fut le premier à combattre les Blancs de manière efficace en adoptant leurs armes et leurs tactiques.
En 1876, il seconda Sitting Bull à la bataille de la Little Big Horn et défit Custer.
Crazy Horse ne correspond en rien à l'idée que l'on se fait de l'Indien. Il fut toujours considéré par les siens comme un être à part. Adolescent frêle et discret dans les années 1850, on l'avait appelé Curly à cause de ses cheveux clairs et bouclés.
Le jeune homme se tenait souvent à l'écart, taciturne. Son charisme et son anti-conformisme le firent surnommer plus tard l'"homme étrange des Sioux" : jamais il ne dansait, jamais il ne portait de peintures guerrières ou de grandes coiffes de plumes, jamais il ne se vantait de ses actes de bravoure.
Crazy Horse (Cheval Mystique ou Inspiré), tel un héros de la tragédie grecque, fut la victime d'un funeste destin : une vision l'avait averti qu'il ne parviendrait pas à restaurer le cercle brisé des Sioux tétons et qu'il serait trahi par les siens.
Le 5 septembre 1877, il périt, lâchement assassiné par un soldat... avec l'aide de ses "frères" sioux.
Ce chef-d’œuvre, traduit pour la première fois en français, dépasse le simple cadre de la biographie. L'histoire permet rarement une telle osmose entre l'auteur et son sujet.
Née sur les lieux où vécurent Crazy Horse et les siens, Mari Sandoz côtoya les Indiens dès son enfance et s'inspira de leur manière de s'exprimer. Le chef Standing Bear ne déclara-t-il pas qu'elle écrivait "exactement comme parlaient ces bons vieux Lakotas" ?
En 1876, il seconda Sitting Bull à la bataille de la Little Big Horn et défit Custer.
Crazy Horse ne correspond en rien à l'idée que l'on se fait de l'Indien. Il fut toujours considéré par les siens comme un être à part. Adolescent frêle et discret dans les années 1850, on l'avait appelé Curly à cause de ses cheveux clairs et bouclés.
Le jeune homme se tenait souvent à l'écart, taciturne. Son charisme et son anti-conformisme le firent surnommer plus tard l'"homme étrange des Sioux" : jamais il ne dansait, jamais il ne portait de peintures guerrières ou de grandes coiffes de plumes, jamais il ne se vantait de ses actes de bravoure.
Crazy Horse (Cheval Mystique ou Inspiré), tel un héros de la tragédie grecque, fut la victime d'un funeste destin : une vision l'avait averti qu'il ne parviendrait pas à restaurer le cercle brisé des Sioux tétons et qu'il serait trahi par les siens.
Le 5 septembre 1877, il périt, lâchement assassiné par un soldat... avec l'aide de ses "frères" sioux.
Ce chef-d’œuvre, traduit pour la première fois en français, dépasse le simple cadre de la biographie. L'histoire permet rarement une telle osmose entre l'auteur et son sujet.
Née sur les lieux où vécurent Crazy Horse et les siens, Mari Sandoz côtoya les Indiens dès son enfance et s'inspira de leur manière de s'exprimer. Le chef Standing Bear ne déclara-t-il pas qu'elle écrivait "exactement comme parlaient ces bons vieux Lakotas" ?
Titre original : Crazy Horse : The Strange Man of the Oglalas (1942)
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2 éditions pour ce livre
2021 
Editions du Rocher (Nuage rouge)
Traduit par Daniel Bismuth et Thierry Chevrier
720 pages
15 septembre 2021
ISBN : 9782268105765
1994 Editions du Rocher (Nuage rouge)
499 pages
5 avril 1994
ISBN : 9782268017266
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Livre abandonné: sujet intéressant, mais lecture fastidieuse à cause du format.