La chronique des Bridgerton, tome 8 : GregoryJulia Quinn2011

J'ai passé un bon moment de lecture avec ce tome 8. J'ai bien apprécié Lucy quant à Gregory il m'a tout de même semblé bien sage à côté de ses frères même si dans la deuxième partie, il se révèle. Leurs dialogues m'ont plusieurs fois fait rire et sourire. Et dans la seconde partie où tout finit par s'enchaîner, j'ai retrouvé l'effet addictif de la saga.

Je ne suis pas mécontente d'avoir terminé ce tome 8 qui m'a paru long, surtout la première partie où des dialogues inutiles n'apportent rien à l'histoire. Gregory est fade et peu entreprenant auprès des dames, il n'a rien à voir avec ses frères. Finalement, je ne retiens pas grand chose de ce tome qui lui est consacré...

Ce tome ne m'a pas emballé. Gregory est trop lisse par rapport à ses frères. J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs et des dialogues insipides qui ne faisaient pas avancer l'histoire. La seconde moitié est un peu mieux mais ça reste une lecture moyenne pour moi.

Dans la lignée de son prédécesseur, ce dernier tome souffre quelque peu d’une certaine banalité dans sa construction et son dénouement. Je m’attendais à une romance romantique et poignante mais ce ne fut pas le cas. Néanmoins, j’ai aimé retrouver une dernière fois la légèreté et l’efficacité de Julia Quinn qui m’aura séduit jusqu’au dernier tome.

Plus j’avance dans cette saga, plus je suis mitigée vis-à-vis des membres de la fratrie Bridgerton. Ensemble, ils sont vraiment bons et offrent quelques joutes verbales amusantes. Sauf que, séparément, les derniers tomes m’auront un peu déçue. Gregory est naïf, trop pour ma patience, et ce n’est pas Hermione qui sera parvenue à changer cette impression.