Je pleure encore la beauté du monde Charlotte McConaghy2024

Je suis soufflée par la puissance de ce livre, qui oscille entre nature writing et polar féministe…
Finalement, ce livre parle de la vulnérabilité humaine, de la difficulté à faire confiance après des traumatismes, sur le choix de reproduire ou non la violence et sur la nécessité de dialoguer avec ceux qui se présentent comme des adversaires… car adversaire ne veut pas dire ennemis!

J'ai bien aimé malgré certaines invraisemblances et des scènes too much. Les loups et l'ambiance (surtout pour la partie dans le passé) m'ont particulièrement plu.

Une lecture qui me laisse un peu sur ma faim. Je ne peux pas dire que j’ai détesté, certains passages étaient très intéressants et m’ont happée. Mais une grande partie du roman m’a laissée indifférente, c’était peu crédible, « too much », et ça a desservi le sujet que je pensais principal : la réintroduction des loups.

Avis mitigé. Le roman traite de thématiques fortes et intéressantes. C'est une ode à la nature et à la préservation de celle-ci mais l'histoire ne m'a pas touchée et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. De plus, la fin est assez tirée par les cheveux.

Le titre ne m’aurait pas tenté, mais une amie proche me l’a mis dans les mains : je ne pouvais faire autrement que le lire.

J’ai eu du mal avec les lieux : le roman est sponsorisé par l’Australie, mais l’action se déroule en grande partie en Ecosse.

Quand j’ai eu compris, j’ai pu apprécié de suivre Inti au fin fond de la région dans laquelle son équipe