Synopsis
Autrefois, Zem Sparak fut, dans sa Grèce natale, un étudiant engagé, un militant de la liberté. Mais le pays, en faillite, a fini par être vendu au plus offrant, malgré l’insurrection. Et dans le sang de la répression massive qui s’est abattue sur le peuple révolté, Zem Sparak, fidèle à la promesse de toujours faire passer la vie avant la politique, a trahi. Au prix de sa honte et d’un adieu à sa nation, il s’est engagé comme supplétif à la sécurité dans la mégalopole du futur. Désormais il y est “chien” – c’est-à- dire flic – et il opère dans la zone 3, la plus misérable, la plus polluée de cette Cité régie par GoldTex, fleuron d’un post- libéralisme hyperconnecté et coercitif. Mais au détour d’une enquête le passé va venir à sa rencontre.
Moyenne
15.3
157 votes
BON
4 éditions pour ce livre
2024 Editions Babel
288 pages
4 septembre 2024
ISBN : 9782330194147
2022 Editions Actes Sud (Domaine français)
304 pages
24 août 2022
ISBN : 9782330168339
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32 commentaires
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Se lit plutôt bien, mais 300 pages pour un policier dans un récit de science-fiction, c'est pour moi tout de même trop léger pour en faire un ouvrage de grande qualité. Un univers peu expliqué (Zone 1, 2 et 3), hiérarchie, lois, règles, médias, vie des gens qui composent la société... rien de tout cela. Un ouvrage au final un peu "vide".
Assez déçu par le livre. J'étais à fond au début mais plus j'avançais plus je perdais mon intérêt, et les premières révélations de l'enquêtes m'ont totalement sorti du livre. La fin met mille an à venir, puis la relations entre les deux persos principaux est plutôt gênante surtout la scène de Q inutile.
C’était trop bien ! L’histoire est assez cool mais c’est vraiment la plume de Laurent Gaudé qui m’a convaincu
Dystopie intéressante.
Du bon et du moins bon, des clichés et du déjà vu en polar et en SF (société découpée avec techno et méritocratie). Pourquoi faut-il une scène de Q quand les 2 personnages sont de sexe différent? On s'en passerait (mauvais film sauce Hollywood). Les réminiscence de la Grèce d'avant alourdissent le récit et ankylosent le personnage. Le chapitre ++ de Delphes rappelle le Goncourt. Se lit quand même.